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le rhume, sa face cachée

Pédagogie du rhume

 

Appelée aussi rhinite virale, cette affection serait , selon la théorie classique, causée par un virus. La science médicale a même identifié une centaine de germes responsables de cette infection qu’elle considère comme très contagieuse. Et de fait, les personnes enrhumées  ont souvent côtoyé des personnes enrhumées pendant la période d’incubation.

Mais qu’est-ce que cela prouve ? 

Quand des chercheurs inoculent le  rhinovirus dans les fosses nasales de volontaires, il y a  à peine quelques pourcents d’enrhumés supplémentaires par rapport au groupe témoin !
Réputées fragiles, les muqueuses du nez résistent  assez facilement à cette tentative d’effraction pourtant peu naturelle. Le taux d’infection est même sensiblement identique chez les cobayes « contaminés » que l’on oblige à rester les pieds dans une bassine d’eau glacée et  chez ceux qui peuvent s’emmitoufler au coin du feu. 
De toute évidence, ni la présence de l’agent viral ni l’action du froid ne suffisent à expliquer comment on « se choppe » un rhume. D’ailleurs, tout être humain rencontre et repousse le virus du rhume plusieurs fois par an.

Si les symptômes apparaissent, c’est que le corps a bien voulu  laisser entrer le prétendu intrus. Pour cette pathologie, le rôle du système immunitaire est même  parfaitement établi : plus l’organisme est affaibli (par le manque de sommeil, la malnutrition, la  sédentarité,  le déficit en vitamine C et D, etc), plus il y a de risque de contracter un rhume.  Et dans cet affaiblissement, l’influence  du stress a été clairement identifié comme un facteur déterminant. 
A l’Université de Pensylvanie, le chercheur en psychologie Sheldon Cohen  a notamment montré que la fréquence du rhume  était étroitement liée au niveau de stress atteint sur une échelle d’évaluation  Une de ses nombreuses études indique aussi que les anxieux,  les dépressifs et les associables s’enrhument trois fois plus souvent que les personnes  dotées d’une humeur positive et communicative. D’autres travaux ont révélé que les cadres en burn out, les enseignants  au bord de la crise ne nerfs ou les employés victimes de tracasseries au boulot souffraient plus souvent de rhinite infectieuse. 
Bref, les preuves existent que « le microbe n’est rien et que le terrain est tout »,  comme l’a si bien résumé Claude Bernard. Et que ce terrain est essentiellement miné par le vécu psycho-émotionnel

Le problème de la psychosomatique classique, c’est qu’elle ne parvient pas  à dévoiler la relation causale entre un stress précis et une maladie précise. On sait par exemple qu’un deuil  douloureux prédispose au cancer, mais le lien entre la perte d’un proche et telle ou telle tumeur n’a jamais été trouvé
Le chaînon manquant, ce fameux lien de causalité,  c’est le Dr Ryke Geerd Hamer qui l’a découvert en faisant le rapprochement entre la mort  tragique de son fils et  son cancer testiculaire. Pour chaque maladie, il a compris qu’elle était une solution de survie conforme à la logique du cerveau archaïque.
 Quel est  le sens du rhume ?  Bernard Tihon  ci dessous vous explique que sa fonction  est de bloquer les récepteurs olfactifs pour résister à un « conflit de puanteur ». On fait cette maladie-là parce qu’on ne « peut plus sentir »  quelque chose ou quelqu’un  et que le climat relationnel est devenu irrespirable.  Comme le ressenti n’est pas celui d’une menace mortelle,  la solution choisie et l’organe affecté ne mettront pas non plus la vie en danger.  Le virus  n’est pas un pyromane mais un pompier qui intervient en phase de guérison pour réparer les tissus abîmés.

Reste une question : pourquoi s’enrhume-t-on plus souvent en hiver ?
Selon la théorie officielle, l’agresseur viral est plus fringuant et notre nez plus menacé par  temps froid et sec.  On nous radote aussi  que  le pic hivernal coïncide avec le séjour prolongé dans des espaces confinés chauffés , par exemple les salles de classes ou les bureaux, ce qui favorise la  prolifération et la migration virale. Cela n’est certes pas faux, et il est vrai que les moisissures qui se développent dans des pièces mal ventilées peuvent exacerber les problèmes respiratoires. 
Mais si l’on y réfléchit un peu, les lieux de travail et le milieu scolaire sont aussi le biotope où  l’être humain passe le plus clair de son existence durant la morte saison. Et ce sont aussi les endroits où se vivent de nombreux petits conflits de territoire propices à la sortie des mouchoirs. 
La route du rhume nous mène ainsi à une nouvelle compréhension de la santé.

Yves Rasir

 

 

Le Rhume  : conflit de puanteur

Quand « on ne peut plus le sentir » et qu’on prétend « avoir le nez fin », cela veut dire qu’on a un ressenti d’olfactif : pas étonnant que les conséquences biologiques de nos conflits se passent au niveau du nez. Il y a des personnes qui ont des angines chaque hiver et jamais de rhume. Il y en a d’autres qui ne connaissent pas l’angine et font rhume sur rhume. Or, elles sont toutes en contact avec les mêmes microbes, les mêmes virus et bactéries.

Le combat nasal

On pourrait prendre l’exemple du taureau ou du buffle, mais je préfère vous parler du chien de ma voisine. Nous avons des jardins contigus de manière perpendiculaire par le fond. Donc, c’est quand je vais dans le fond de mon jardin, que je m’approche du territoire du chien de la voisine. A ce moment, au lieu d’aboyer, ce qui serait la réaction la plus normale pour un chien, mais cela lui est interdit par ma voisine qui, merci, a le respect du voisinage, il se met à éternuer et à souffler par le nez comme s’il voulait chasser de son nez la mauvaise odeur, la mienne, celle du gêneur qui risque d’envahir son territoire. Il espère sans doute aussi me faire partir sans devoir se battre, en m’impressionnant par le fait de souffler très bruyamment avec le nez, puisqu’il lui est interdit de m’aboyer à la gueule. Pas facile la vie de chien de compagnie, quand on a en soi les mémoires biologiques d’une bête sauvage.

La maladie

L’olfaction est le plus primitif des sens et le plus vital. Il ne se déconnecte pas quand on dort. L’olfaction est vitale à plus d’un titre :
- pour flairer le danger, représenté par un prédateur ou par la mort ;
- pour repérer la proie pour se nourrir ;
- pour reconnaître le partenaire sexuel qui permettra de perpétuer l’espèce.
Le rhume est une maladie qui touche la muqueuse nasale, un tissu dérivé de l’ectoderme. Il s’agit donc d’une infection des voies respiratoires supérieures, d’origine virale, provoquant une inflammation aiguë de la muqueuse nasale et les symptômes bien connus (éternuements, nez qui coule,…). On confond parfois le rhume avec la rhinite chronique ou la rhino-pharyngite qui, bien que fort proches, ont des sous-tonalités différentes.

L’étymologie

Le mot « rhume » vient du grec « rheuma » qui signifie écoulement d’humeurs. La personne qui a un rhume exprimerait-elle ses humeurs par ce biais ? Il y a peut-être d’autres moyens pour cela sans avoir besoin d’une « mal a dit ». En anglais, on dit « to get a cold » = attraper froid. En français aussi, on appelle parfois le rhume « refroidissement ». A quoi pourrait faire référence cette notion de froid ? Tout d’abord à la première grande séparation de notre vie, la séparation à la mère lors de la naissance, qui constitue notre première expérience du froid : fini la piscine tropicale à 37° en permanence dans le ventre maternel. Le choc thermique sera d’autant plus fort si la naissance a lieu en plein hiver glacial. Cette séparation parfois se passe mal ou dure trop longtemps avant de revenir près du sein maternel et il y aura encodage d’un stress vital pour le nouveau-né lié au froid. D’autre part, le froid peut évoquer aussi une séparation au père, si celui-ci est mort et donc se trouve au ciel dans notre représenté issu de la foi chrétienne. Or, tout le monde sait qu’au ciel, c’est là qu’il fait le plus froid. C’est la frilosité d’une personne qui nous mettra sur cette piste : elle a froid pour retrouver son père.

L’écoute du verbe

Rhume = rue / me = quelqu’un ou quelque chose se rue sur moi. Quand on est sous l’influence de quelqu’un (« influenza »), c’est un conflit de territoire, on se sent agressé par l’odeur, la puanteur de l’autre. C’est le cas, par exemple, du conjoint d’une personne malade et puante, qui se sent agressé par l’odeur de l’autre chargée des miasmes de l’angine et qui a peur d’ « attraper » ses microbes, car alors ils se retrouveraient tous les deux sur le flanc et il n’y aurait plus personne pour s’occuper des enfants : il ne fera pas la même maladie qu’elle, mais un rhume. Pour repousser l’agresseur, il faut chasser son odeur du nez.

Le sens biologique

Tout étant programmé en terme biologique de survie, le sens du rhume sera lié à un conflit de puanteur où il est important de détecter le plus tôt possible la présence d’un intrus dans le territoire, de flairer le danger avant même de le voir. Ce ressenti pourra avoir plusieurs tonalités, toutes liées à la fonction nasale. Ca sent mauvais pour moi, ça me pue au nez. Souvent avec une touche de paranoïa olfactive : on me cache quelque chose, qu’est-ce qui se trame derrière mon dos ? Une personne ou une situation nous apparaissent comme nauséabondes : une première solution biologique sera donc de mettre en veille les récepteurs olfactifs. Cela permettra également de retrouver son état intérieur de sécurité : ne plus rien sentir d’alarmant.

Ce n’est pas tout car dans beaucoup de cas, notamment de rhume ou rhinite chronique, souvent allergique, il y aura une tonalité conflictuelle de séparation : dans ce climat nauséabond, je suis séparé de la bonne odeur…qui du sein maternel, qui de l’être aimé, etc. Alors, le second sens de la maladie sera de creuser la muqueuse pour augmenter la surface de contact. En cas de rhino-pharyngite, ce sera encore plus qu’une séparation, ce sera le fait de ne pas pouvoir « attraper le morceau » avec son nez, avec son gosier.

L’histoire de Sabine va nous éclairer sur ce mode de fonctionnement des « olfactifs ». Le drame de son enfance est lié à son père dont elle est séparée, qu’elle ne peut aimer, admirer, à cause de tout ce qui est dit par la mère à son sujet : les paroles nauséabondes de la mère, souvent dites par derrière, lui puent véritablement au nez et l’empêchent de sentir la bonne odeur du père, de vivre son Electre avec son père. Plus tard, Sabine aura un fils, avec qui elle voudra fusionner, elle s’imprègnera donc beaucoup de la bonne odeur de son enfant et le drame arrivera quand, à cause des paroles puantes et dites par derrière par la petite-amie de son fils, elle sera séparée de lui : le jour où elle retrouvera son fils, elle déclenchera un magnifique rhume qui durera deux bonnes semaines.

La guérison

En effet, le rhume est une manifestation biologique dont les symptômes principaux apparaissent après la solution du conflit, dans les 48H. En phase de conflit actif, les ulcérations de la muqueuse nasale passent inaperçues. Une fois le conflit solutionné, il s’agit pour le cerveau d’envoyer les ordres de réparation pour reboucher tous ces petits trous : il y a congestion de la muqueuse nasale, inflammation, écoulements suite à l’intervention des virus. Une fois que le rhume apparaît, il n’y a donc plus rien à faire, si ce n’est se reposer complètement pendant 24H et prendre de la vitamine C. On profitera de ce petit « break » pour réfléchir à tout ce qu’ont ne peut ou veut pas sentir, afin d’éviter les puantes rechutes.

Bernard Tihon

 

 

Biomagnetiseur,
Energie-thérapeuthe

Maître Reiki

Radiesthésiste

Micro-nutritioniste

 

23 T rue Gerard de Nerval

77280 OTHIS

      

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