centre de santé globale Othis, hygiène de vie Othis, état naturel d’équilibre Othis
centre de santé globale Othis, hygiène de vie Othis, état naturel d’équilibre Othis
L'énergie-thérapie , des ondes bénéfiques pour votre santé !
L'énergie-thérapie , des ondes bénéfiques pour votre santé !

Actualités

<<

 

La fin des feux de cheminées      ?

vraie-fausse idée....

Vallée du Rhône , Hautes-Pyrénées , Rennes , Morbihan, Alsace , Lille , Orléans , Marseille et Nice, Paris depuis plus de trois semaines….


Toutes ces villes ou régions ont connu des "épisodes" de pollution aux particules fines au mois de décembre 2016.

En Lorraine, on a même parlé de "neige de pollution" [9] et en Haute-Savoie, de "pluies de particules fines" [10]…

En réalité, si l’on regarde la presse régionale et locale, on s’aperçoit que la France entière est touchée par le phénomène. Certains lieux inattendus, comme la vallée de l’Arve [11] près du Mont-Blanc sont même « abonnés » aux pollutions aux particules fines [12]. À l'hôpital de Sallanches, 30% d'enfants en plus sont admis pendant les pics de pollution…

A regarder la carte interactive proposée par the World Air Quality Index, aucune région française n’est à l’abri, même si, par rapport à la Chine, la France et ses voisins paraissent relativement épargnés (encore que l’Italie du Nord semble traverser une mauvaise période en ce qui concerne les particules fines) [13].

Pour autant, personne, aucun scientifique, ne remet en cause le lien entre la qualité de l’air et la santé. Les chiffres officiels sont même inquiétants. Près de 50 000 décès par an sont causés par les particules fines « PM 2,5 » selon l’agence Santé Publique France [14].

Il y aurait donc, dans chacune de nos régions, de nos villes, un danger considérable pour la vie de nos enfants et petits-enfants, et dont l’ensemble des journaux se font le relais. Et pourtant, ce cauchemar n’entraîne aucune politique immédiate et d’envergure, comme le ferait n’importe quelle autre catastrophe naturelle, tels une tempête ou un tremblement de terre.
Pourquoi ?

La réponse est simple : le phénomène dont nous parlons, bien que réel, bien qu’admis par tous (ce qui est suffisamment rare pour être souligné), est complexe. Il ne s’agit pas d’un problème parmi tant d’autres mais d’un cumul de problèmes. Surtout, les solutions demandent d’importants sacrifices à ceux qui sont concernés.

Comme l’enfant, confus devant sa chambre à ranger, ne sait pas par quel bout commencer, nous nous demandons ce qu’il faut faire pour résoudre le problème de la pollution de l’air, sans risquer de remettre fondamentalement en cause nos modes de vie collectifs et individuels.

Dans les grandes lignes, on retrouve, au niveau des particules fines émises par les activités humaines, des grands secteurs responsables : le secteur tertiaire et résidentiel, l’industrie, les transports et l’agriculture, bref presque tout le monde.

Certains préconisent d’interdire les activités responsables comme le chauffage au feu de bois ou le diesel, mais c’est voir le problème par le petit bout de la lorgnette. En réalité, il faudrait commencer par établir une analyse fine des problèmes que l’on veut résoudre, en tirer des conclusions plus précises et mieux documentées avant de lister les solutions et de les mettre en œuvre…

Vaste programme ! On y va ?

 

Particules fines, quèsaco ?

Sont mises en cause les « particules fines » ou particules de suspension, c’est-à-dire la poussière de l’air.

On utilise le mot « suspension » parce qu’elles ne sont pas posées au sol. Elles volettent dans l’air et nous les respirons. Ainsi, dans la résolution du problème, entrent en compte non seulement la question de la production des particules fines, mais aussi celle de leur « transport ». Par exemple, le trafic routier ou les machines pour ramasser les feuilles ont pour conséquence directe de les lever. C’est aussi le cas de l’aération dans le métro ou dans les parkings.

L’action du vent et les conditions météorologiques sont, du reste, déterminantes. C’est la raison pour laquelle le plus souvent les autorités informent les citoyens que les niveaux de particules fines recommandés sont dépassés, tout en attendant des conditions météos meilleures.

La plupart des particules qui forment les nuages de fumée couvrant nos villes et parfois nos campagnes ne sont pas visibles à l’œil nu.

Et pour cause, elles sont minuscules ! On les classe en quatre catégories en fonction de la taille de leur diamètre en micromètres :

- PM 10 (moins de 10 micromètres de diamètre)
- PM 2,5 (moins de 2,5 micromètres de diamètre)
- PM 1 (1 micromètre de diamètre)
- PM 0,1 (moins de 0,1 micromètre de diamètre)

PM fait référence à « Particulate Matter » en anglais.

Parmi ces particules, certaines sont produites naturellement : les poussières de sable du désert, les résidus d'éruptions volcaniques ou d’érosion par le vent ou encore celles créées par les incendies de forêt.

Le reste provient de l’activité humaine. Et les sources de création sont multiples : chauffage, travaux, activités industrielles en tout genre, freinage des voitures, des trains et des métros, combustion des véhicules, épandages d’engrais et de pesticides, consommation de tabac, etc. Souvent ces particules sont issues d’une réaction chimique (on les appelle alors particules secondaires).

A ces particules fines qui polluent l’air s’ajoutent d’autres polluants comme du dioxyde d’azote (NO2), des oxydes d’azote (NOx), des composés organiques volatils (benzène par exemple), du dioxyde de soufre (SO2), du plomb, de l’ozone, du monoxyde de carbone (CO), ainsi que divers autres métaux lourds, comme l’arsenic ou le cadmium (et la liste n’est pas exhaustive !).

 Mais le terme « particule » ne renvoie pas à une catégorie définie de polluants. Ce qui compte, c’est la taille. (Pour trouver le détail de la constitution des particules fines (PM), voir la liste en bas de cette lettre).

 

A quel moment tire-t-on la sonnette d’alarme ?

Les autorités s’inquiètent de la pollution de l’air lorsque le seuil d’information et de recommandation du public est atteint ou, pire, lorsque l’on a dépassé le seuil d’alerte.

Ces seuils sont fixés par les administrations (préfectures en France) en fonction de la législation européenne.

A titre d’exemple, l’Ile-de-France dispose d’une procédure d’information pour 4 polluants [15] :

>> Le dioxyde de soufre (SO2)
>> L’ozone (O3)
>> Le dioxyde d'azote (NO2)
>> Les particules (PM10)

Pour les particules fines, le niveau d’information est atteint à 50 µg/m³ (en moyenne sur 24h) et le niveau d’alerte à 80 µg/m³ (en moyenne sur 24h).

 

Quels effets sur la santé ?

Les autorités de santé connaissent avec certitude les méfaits des particules fines depuis un certain temps déjà :

 

Dans un rapport de 2012, le CIRC a estimé que les particules fines peuvent être considérées comme cancérigènes (dans la catégorie : cancérigène certain).
Selon l’Institut National contre le Cancer (InCA), les particules fines représentent l'un des principaux facteurs de risque liés à la pollution de l'air en milieu urbain.
L’OMS avait publié un rapport en 2003 (déjà !) [16] dont les conclusions étaient sans appel.

Les particules fines ont un effet notable sur :
 

les pathologies respiratoires chroniques, dont l’asthme,
les maladies cardiovasculaires,
l’espérance de vie, qui serait réduite de 2 ans selon certains scientifiques pour des expositions prolongées aux particules fines,
les publics fragiles : nourrissons, enfants, personnes âgées ou malades.

Les hôpitaux, de leur côté, enregistrent des taux d’hospitalisation sensiblement plus élevés lors des pics de pollution de l’air qui sont plus fréquents et dont la durée s’allonge chaque année.

 

Qui sont les coupables ?

Le risque lié aux particules fines semblait avoir été réduit ces dernières années. Il est soudain réapparu en décembre 2016 en raison, nous dit-on, d’une météo peu clémente.

Malheureusement, le vent (ou plutôt son absence) est là pour nous rappeler que nos modes de vie n’ont toujours pas changé et que les mesures prises, notamment lors du Grenelle de l’Environnement, ne sont que des rustines posées sur un pneu trop usé.

L’inquiétude grandissant, et les responsables politiques voulant montrer qu’ils sont prêts à agir, il a fallu trouver des coupables. On en a repéré trois ces derniers temps :

 

le chauffage au bois,
le diesel,
l’Allemagne [17].

En ce qui concerne le premier, il est vrai que personne ne le défend. Le chauffage au bois produit de nombreuses particules fines et autres polluants, notamment du benzène qui est hautement cancérigène.

Sont pointés du doigt les poêles à bois, en augmentation depuis… le Grenelle de l’Environnement, car l’usage du bois pour le chauffage permet de réduire l’émission de CO2 dans l’air, et donc le réchauffement climatique !

Il apparaît cependant qu’à Paris seulement 4% de la pollution aux particules fines seraient dûs aux feux de cheminées parisiens. Le reste viendrait des particules fines produites par le bois de chauffage venu d’ailleurs, des autres régions de France, voire des pays voisins.

L’interdiction des feux et des poêles à bois n’aurait donc qu’un effet limité (à Paris en tout cas).

Par ailleurs, selon le site de surveillance de l’air de Paris [18] :

« la tendance pour les PM10 (inférieures à 10 µm) et les PM2,5 (inférieures à 2,5 µm) est globalement stable ces dernières années, avec des niveaux largement supérieurs aux valeurs limites à proximité du trafic.»

Donc, les voitures et les camions...

Quid du diesel ? Il est pointé du doigt par certains responsables politiques. D’autres personnes accusent Total de manipuler l’opinion en influençant les journalistes pour que le public se tourne vers des moteurs à essence. Sur ce sujet, le témoignage de Daniel Legrou, ancien de chez Renault ayant travaillé sur les moteurs diesel, est intéressant [19].

Selon lui, les moteurs diesel ont fait d’énormes progrès depuis des années et ne polluent pas plus que les moteurs à essence. Il préfère mettre en cause le comportement des conducteurs et l’absence de volonté politique d’imposer aux voitures des systèmes efficaces de réduction de la consommation.

Il rappelle ainsi que :

« le Centre Technique Renault de Rueil avait équipé une Renault 14 (la “poire”) d’une transmission à variation continue qui gérait électroniquement le bon rapport, le moteur fonctionnant sur deux modes seulement, « ralenti et pleine charge ». La pédale d’accélérateur ne commandait pas le moteur, mais la transmission, pour lui faire part de l’intention. En simulation taxi dans Paris, la consommation n’était que de 3 l/100, pendant que sa copine « normale » était dans la zone 10 à 14 l/100 km ».

Sa conclusion sur le sujet est qu’aucune voiture ne devrait maintenant avoir besoin de plus de 2 à 3 litres de carburant/100 km.

En attendant, personne ne semble remettre en cause les vols aériens ou l’agriculture dont la part dans l’émission de particules fines n’a fait qu’augmenter ces dernières années.

Pourquoi ? Tout simplement parce que derrière chaque « coupable » potentiel, il y a des personnes, des métiers, des « emplois », des familles entières, des activités économiques stratégiques, etc.

Chacun défend ses intérêts, pour ne pas dire sa survie.

Et quand on y regarde de près, il est certain que l’on ne sait pas qui doit faire un effort en premier :

 

l’industrie est morose depuis des années. La réglementer davantage, c’est prendre le risque d’augmenter les délocalisations ;
les agriculteurs sont très endettés et exsangues ;
les travailleurs, dans l’ensemble, sont fatigués et « auto-dépendants ». En Ile-de-France, s’ils prennent les transports en commun, ils sont serrés comme des sardines et s’ils prennent le vélo, ils s’exposent aux particules fines ! C'est le serpent se mord la queue !
les avions sont nécessaires au commerce international ;
le chauffage au bois est bon pour nos objectifs de réduction des gaz à effet de serre et représente 20 000 emplois non délocalisables ;
le diesel est une spécificité française, les moteurs sont plus propres qu’avant. L’interdire reviendrait à donner un coup de pouce à la croissance allemande !
etc, etc.

Enfin, pour ce qui est de l’Allemagne, même s’il est certain qu’une partie de la pollution actuelle aux particules fines vient d’Europe du Nord, il est évident que ni les franciliens, ni les français ne peuvent s’exonérer aussi facilement de leur responsabilité !

Quelles solutions ?

Alors, que faut-il faire ? Il est évident que le problème des particules fines concerne absolument tout le monde, que ce soit en ville ou à la campagne, au nord comme au sud, sur le littoral, dans les terres ou à la montagne.

Certaines personnes, désespérées, n’envisagent qu’une solution : la réduction de la population. Cela me paraît excessif et dangereux.

Nous n’avons aucune maîtrise réelle sur la démographie et, quoi qu’il arrive, si les niveaux de pollutions continuent à augmenter, elle baissera, malheureusement, sans qu’on ait besoin de l’aider.

Il est bien plus intéressant d’envisager des changements qui pourraient rendre nos vies, tout à la fois plus agréables, plus saines et moins polluantes.

Distinguons deux niveaux d’action, à la fois pour protéger sa santé et participer à l’effort commun (l’idéal étant de pouvoir faire évoluer ses comportements dans une direction qui nous est agréable).

1. Individuel

 

Améliorer ses équipements : plutôt que de changer de voiture, ce qui incite à la consommation, il est peut-être préférable de la mettre à jour. Il existe des systèmes améliorant les moteurs ou les pots d’échappement pour les moteurs diesel et essence. Pour le chauffage au bois, c’est la même chose. Il existe des filtres à particules pour les cheminées et les poêles.
Mieux organiser ses déplacements : on savait qu’utiliser la voiture n’était pas très bon pour la planète. Mais là, il s’agit de votre santé. Et la pollution des voitures, on l’a vu, ne joue pas que sur les émissions de CO2. Freins, embrayages, usure de la chaussée et des pneus : voitures et camions ont un rôle déterminant dans la production de particules fines.
Conduire en souplesse en évitant les à-coups et les accélérations subites.
Consommer des aliments locaux et de saison (pour limiter les transports des produits).
S’habiller plus chaudement (pour diminuer nos besoins en chauffage).

Les conseils ci-dessus sont connus, pour l’essentiel. Mais la pollution aux particules fines nous rappelle l’urgence dans laquelle nous nous trouvons de devoir les appliquer, non pas pour la santé de la planète (objectif abstrait pour certains), mais pour notre santé directement.

On pourrait multiplier les conseils et les astuces et sans doute en avez-vous un certain nombre à partager. N’hésitez pas à nous les envoyer par mail ou à mettre un commentaire sur notre site Internet.

2. Collectif (qui repose sur l’action des autorités influencées par les citoyens) :

 

Limiter encore la vitesse dans les villes.
Améliorer les moteurs (encore) dans tous les domaines, et notamment l’aviation.
Améliorer les flux de circulation.
Favoriser le transport ferroviaire par rapport à la route.
Améliorer l’isolation des bâtiments.
Améliorer les transports en commun, les axes pour vélo et transport « propres ».
Développer les plateformes de véhicules accessibles au plus grand nombre (pour les villes).
Favoriser l’essor et l’amélioration des véhicules électriques ou hybrides (avec un bémol à cause des batteries).
Favoriser la consommation locale des produits de première nécessité.
Encourager le développement de l’agriculture biologique sans engrais, ni pesticide.
Planter des arbres, favoriser l’agroforesterie.

Etc.

Là aussi, il y aurait sans doute beaucoup à dire. D’autres solutions sont à envisager.

Il est certain que la question de la qualité de l’air (comme celle de l’eau) mériterait d’être au cœur des débats politiques, à plus forte raison, à l’aube d’une période électorale !

Et la liberté, me direz-vous ?

C’est là toute la difficulté de l’opération.

Pour notre santé, nous devons travailler à améliorer l’environnement dans lequel nous vivons. Toutefois, à multiplier les interdictions, nous risquons de créer l’effet inverse de ce que nous recherchons. Il y a un risque de démobilisation et de lassitude face aux efforts qu’il faut déployer.

Personne n’a vraiment envie d’être trop culpabilisé non plus : c’est déprimant et cela n’avance à rien. Mieux vaut envisager les solutions et voir les changements utiles à tous qui peuvent être mis en place.

C’est la raison pour laquelle il est bon de discuter de ces problématiques et toujours favoriser les solutions souples, intelligentes, qui nous donnent de la hauteur.

Le critère premier devrait être l’harmonie. Dans quelle mesure les décisions prises (individuelles ou collectives) nous permettent-elles de vivre davantage en paix avec nos voisins, en paix avec nous-mêmes ?

Indéniablement, on y arrive mieux dans un environnement sain, préservé, où la nature reste présente ! C’est pour cela qu’en attendant de trouver les meilleures solutions pour régler la question des particules fines (qui reviendra de manière chronique), plantons des arbres !

Je vous souhaite à tous une belle année 2017 de paix ! Je vous souhaite également de parvenir à faire face dans la joie à tous ces défis qui se présentent à nous. C’est elle qui nous donne la force d’espérer et d’agir.

 

Bonne année,

Augustin de Livois

PS : Ne ratez pas la Rencontre avec le Pr Michel Lejoyeux ! Ce psychiatre-addictologue (au nom évoquateur) nous présentera son programme inédit pour une année 2017 de bonne humeur... De quoi commencer (et terminer) l'année en beauté! Plus d'informations ici.

---------

Liste des particules fines [20] :

Les PM 10 recouvrent des:

1. particules issues du trafic routier :

 

arrachées à la chaussée (quartz, gypse) par les pneus des véhicules,
le sel et le sable répandus sur les chaussées en hiver,
issues des pneus (noir de carbone, calcium, soufre, zinc...) ; un pneu perd 10 % de sa masse au cours de sa durée de vie,
en provenance des freins et de l’embrayage (fibres d’amiante),
venues des pots d'échappement (fer, plomb, carbone, oxydes métalliques comme les oxydes de calcium provenant des additifs des lubrifiants et l'oxyde d'aluminium provenant des supports des catalyseurs).

2. cendres volantes issues de la combustion au charbon et au fioul lourd (en diminution en France).

3. fibres d’amiantes (héritage malheureux des techniques d’isolation des années 70).

4. éléments d’origine naturelle, notamment :

 

des matériaux terrigènes (oxydes d'aluminium, silice)
du carbone organique
du carbone élémentaire
des sulfates
des nitrates et de l'ammonium
des embruns (HCI) et d’autres éléments issus de l’érosion.

Les PM 2,5 regroupent des :

1. particules issues du trafic routier : halogénures, bromures et chlorures de plomb volatils à la température du gaz à l'échappement, mais qui ensuite, par hydrolyse de ces sels, engendrent dans l'atmosphère des acides chlorhydriques (HCl) et bromhydriques (HBr).

2. particules de diesel

3. micro-suies qui proviennent de la combustion du fioul (chauffage, diesel), de l’essence, du kérosène et du gaz. Ces micro-suies seraient « les plus dangereuses pour la santé humaine, car elles sont susceptibles de pénétrer dans les alvéoles pulmonaires » [21].

4. métaux lourds

Ces minuscules particules PM2,5 sont les plus inquiétantes car elles s’agrègent à d’autres polluants et forment d’improbables cocktails dont personne ne mesure pleinement les conséquences. Leur taille rend évidemment difficile leur traitement et la prise de conscience du danger qu’elle représentent.
 

 

Source: l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

A méditer.....

 

 

Pas touche à mes cancers !

Par Yves Raisir-  neosante.eu

portrait de Yves RasirOui, ne vous avisez  surtout pas d’approcher de mes cancers !  Ils sont ma propriété et je ne demande à personne de les soigner ni de les dépister.

Rachel Campergue dans son dernier livre décrypte la propagande d’Octobre Rose en faveur  de la mammographie sous couvert de sensibilisation au cancer du sein, ainsi qu’un article dévoilant que les autorités sanitaires canadiennes remettent officiellement en cause le dépistage du cancer de la prostate par dosage PSA. 

Il décrit pourquoi la traque du cancer est une escroquerie doublée d’un traquenard, notamment à cause des examens faussement positifs et du phénomène de su-diagnostic.  Ce terme éloquent désigne le fait désormais admis par la science que le cancer n’est pas une maladie qui progresse inéluctablement en l’absence de traitement.

 

Il peut être asymptomatique, le rester très longtemps, voire régresser jusqu’a devenir indétectable, ce qui équivaut à une guérison spontanée. Rien ne dit que quelques cellules cancéreuses vont  se multiplier et former un tumeur,  ni qu’une éventuelle tumeur posera obligatoirement problème à son porteur.
Au Canada,  par exemple, des experts ont évalué que sept septuagénaires décédés sur dix  sont « atteints » par un cancer prostatique non décelé avant leur trépas. Ils étaient malades, mais ils ne le savaient pas ! Cette déclaration étonnante m’a rappelé une étude dont je n’ai malheureusement pas retrouvé les références exactes.  Effectuée par l’armée américaine sur des soldats morts pendant la guerre de Corée (ou du Vietnam, je ne sais plus), elle montrait que beaucoup de dépouilles autopsiées renfermaient des foyers cancéreux non repérés avant le combat fatal.  Nombre de ces jeunes gens morts au front avaient un cancer, parfois plusieurs, sans même s’en être aperçus. Redouté comme un monstre maléfique, le crabe est en réalité une petite bête qui reste très souvent au stade larvaire et n’atteint que rarement une taille véritablement pathologique.

C’est pourquoi il importe de déboulonner le mythe du dépistage et de ses prétendus avantages. Sans  même parler de  leurs dangers intrinsèques, les mammographies, coloscopies, touchers rectaux et autres prises de sang conduisent à  traiter inutilement de nombreux microcancers  qui auraient pu rester embryonnaires ou se résorber naturellement.
Pour le chercheur Bernard Junod, enseignant  émérite à l’École  de Santé Publique de Rennes, c’est carrément la définition classique de la maladie qui est fausse et qu’il faudrait changer d’urgence. Rien qu’en France, nous avait-il expliqué en juin 2012, le nombre estimé de surdiagnostics est de 36.000 par an pour le seul de cancer du sein. Et parmi les victimes de cette détection excessive, une grande majorité  sera  donc irradiée, chimiquement agressée et/ou chirurgicalement mutilée sans réelle nécessité.   

Dans pratiquement tous nos organes,  y révèle-t-il encore , des cellules se divisent et s’organisent d’une telle manière qu’on peut les prendre pour des cancers alors que les tissus sont sains. Autrement dit, ce qu’on dépiste n’est même pas toujours un tout début de maladie silencieuse destinée à demeurer anodine. Certains des bien-portants convoités par les émules du Dr Knock  ne sont  donc même pas des malades qui s’ignorent !

Personnellement, je n’irai jamais me faire dépister de quoi que ce soit. Pour les raisons évoquées plus haut, mais aussi parce que ma vision du cancer a été complètement modifiée par la découverte de son sens biologique.  Il y a 25 ans, lorsque j’ai vu le Dr Ryke Geerd Hamer réussir à diagnostiquer des cancers,  à situer leur site d’apparition et à décrire leur stade d’évolution sur la seule base de scanners cérébraux, j’ai d’abord pris conscience que la maladie était un programme mis en route par le cerveau. Il y a bien sûr de nombreux facteurs de risques (tabac, alcool, pollution, malbouffe…) qui favorisent son développement, mais il ne fait guère de doute à mes yeux que le stress et les chocs émotionnels jouent un rôle causal prépondérant. En me familiarisant plus avant avec les travaux du médecin allemand, j’ai ensuite réalisé l’ampleur prodigieuse de sa découverte majeure, à savoir que les maladies ne sont pas des programmes mortifères, mais au contraire des solutions de survie.  La somatisation est le moyen trouvé par la nature pour  que les êtres vivants ne soient pas terrassés d’emblée par leurs conflits psycho-émotionnels.  Loin d’être un processus anarchique  et insensé,  la cancérisation répond également à une logique vitale , celle de choisir un moindre mal en cas de menace potentiellement létale. Or, pour notre cerveau archaïque, le danger mortel est partout présent dans nos existences modernes. En réponse à ces interprétations anachroniques, nous faisons des cancers bien plus souvent que nous le pensons, peut-être même tous les jours que Dieu fait.  Pour la plupart, les microtumeurs se résorbent naturellement ou n’atteignent jamais une dimension problématique.  Par exemple, une étude vient de montrer que les ganglions de moins de 3 mm était généralement inoffensifs pour le côlon.  C’est la manie de les dépister qui transforme ces minicancers bénins en signaux inutilement alarmants.

Comme tout le monde, je suis donc très probablement « malade » du cancer à l’heure où je vous parle.  Nous sommes tous titulaires d’oncogènes et avons tous en permanence 300 à 400 cellules cancéreuses dans notre organisme. Avant-hier, j’ai ressenti une vive douleur à hauteur de la prostate. Hier, j’avais une « pointe » au poumon droit.  Demain, j’aurai peut-être un reflux stomacal ou  un petit saignement anal. Et alors, est-ce que je me tracasse ? Non. Mon cerveau inconscient me veut du bien et mon corps travaille pour moi.  Il y a quelques années, il se passait des trucs plutôt inquiétants dans mon crâne,  genre craquements sinistres et décharges électriques. Je n’ai pas consulté et c’est passé tout seul. À plusieurs reprises aussi, je me suis découvert de « petites boules » dans les testicules, et même une  grosse bille bien dure. Je n’ai rien fait et elles se sont désagrégées progressivement.
 Une autre fois encore, un point de beauté s’est mis à proliférer sur mon épaule, jusqu’à s’entendre sur plusieurs centimètres carré. Mélanome ? Je ne le saurai jamais et je m’en fiche puisque la plaque s’est évaporée malgré mon goût immodéré pour le soleil.
Bref, je me fie tranquillement à mes capacités d’autoguérison  et je banalise  constamment ce qui m’arrive. Un des moyens que je préfère, c’est  la dramatisation humoristique. Je banalise le cancer en le voyant partout au moindre symptôme. Petit mal de ventre ? Mon cancer intestinal.  Une toux tenace ?  C’est ma tumeur au poumon. Enrhumé ? Je fais un cancer du nez.   Mes enfants sont habitués et ils rient aussi au second degré. Comme je n’ai pas de médecin traitant et ne prends quasi jamais de médicament , ils comprennent bien que je ne me moque pas du cancer déclaré, ni bien sûr des vrais cancéreux, mais que j’applique concrètement  ma philosophie de l’insouciance. La néoplasie est une péripétie à ne pas prendre trop vite au sérieux, sous peine de mettre le doigt dans l’engrenage oncologique au détriment du bon sens biologique.

Pour moi, il est donc hors de question de me faire ausculter minutieusement ou de faire des « contrôles »  à grand renfort de technologie médicale. Je jette à la poubelle toutes les invitations au dépistage adressés aux hommes de mon âge et le jour n’est pas encore venu où un proctologue me mettra le doigt dans le cul. Si j’ai un cancer, il est à moi et j’interdis à quiconque de le déranger. De toute façon, tout ce que je sais  sur le sens biologique des maladies m’aiderait à ne pas prendre au tragique un diagnostic funeste, et même un pronostic pessimiste. Il y a aussi très peu de chances que je me fie à la médecine classique pour traiter une tumeur avérée. J’ai donc autre chose à faire que de me chercher des cancers.
Et ne suis-je pas l’éditeur de Boris Sirbey ? Dans son ouvrage « 
La vérité sur le cancer que la médecine ne vous dit pas encore
 », ce jeune philosophe des sciences parisien raconte comment il a découvert les vraies raisons du décès prématuré de sa maman et comment les trouvailles du Dr Hamer ont pleinement étanché sa soif de comprendre le cancer. Ce bouquin explique lumineusement que, loin de se ramener à une simple affaire de génétique et de produits nocifs, cette maladie est toujours en relation étroite avec le vécu émotionnel.

 

< Nouvelle zone de texte >>

INTERET DE LA RADIOFREQUENCE PULSEE DANS LA CICATRISATION DES PLAIES CHRONIQUES

 

Par Nina Roos - Lasers et Radio Fréquence - RF_pulsee.png

Les plaies chroniques sont biochimiquement complexes et associées à une insuffisance de prolifération cellulaire, d'angiogénèse (fabrication de nouveaux petits vaisseaux) et de remodelage de la matrice extra-cellulaire (le tissu de soutien du derme). Les mécanismes par lesquels la radiofréquence pulsée module la cicatrisation sont encore mal compris. Une étude récente tente d'apporter des éléments de compréhension.

Des souris ont été blessées puis traitées par radiofréquence pulsée. La fermeture de la blessure et la prolifération cellulaire ont été analysées, de même que la formation des composants de la matrice extra-cellulaire, dont le collagène. Les chercheurs ont également étudié le déplacement des cellules au sein de la blessure.

Les résultats montrent que les blessures traitées par radiofréquence pulsée sont caractérisées par une augmentation de la prolifération cellulaire et de la synthèse de collagène (par rapport aux blessures non traitées par radiofréquence).

On savait que les sources de rayons infra-rouges et certaines LED avaient déjà la propriété d'accélérer la cicatrisation, voici une autre option thérapeutique. Concernant les applications en esthétique et les effets anti-rides, les bénéfices de la radiofréquence (notamment bi ou multi-polaire) ne sont plus à démontrer. Il sera intéressant de comparer les effets connus à ceux de la RF en mode pulsé, afin de savoir quels appareils sont à privilégier en pratique.

 

en savoir plus sur la rf pulsée

Référence: Kao HK. Collagen synthesis modulated in wounds treated by pulsed radiofrequency energy.Plast Reconst Surg. 2013. 131(4): 490e

je partage avec vous ce petit poème:

 

 

QUOIQU'IL EN SOIT

 

Les gens ne sont ni raisonnables, ni logiques, ni généreux
Aime les, quoiqu'il en soit.


Si tu agis bien, on va t'accuser de le faire avec arrière-pensée
Agis bien, quoiqu'il en soit.


Si tu réussis, tu auras de faux amis et de vrais ennemis
Réussis, quoiqu'il en soit.


L'honnêteté et la franchise te rendront vulnérable
Sois honnête et franc, quoiqu'il en soit.


Ce que tu mets des années à construire peut être détruit en une nuit.
Persévère, quoiqu'il en soit.


Les gens ont réellement besoin d'aide mais sont capables de t'attaquer si tu les aides,
aide-les, quoiqu'il en soit.


Donne au monde ce qu'il y a de meilleur en toi et tu en prends plein la tête.
Donne au monde ce qu'il y a de meilleur en toi, quoiqu'il en soit !

 

 

Ne touchez pas au Père Noël !!!!

 

Votre enfant a entre 5 et 6 ans et la majorité de ses amis, à la veille de Noël, vont briser son rêve du père Noël...
Est-ce le moment, et comment lui dire toute la vérité ?
car ne vous y trompez pas c'est un moment crucial dans sa vie, son équilibre, sa confiance ne la société !
Jusqu'ici il avait toujours tout accepté de ses parents, du monde d'adulte. Les "grands" étaient qui était un modèle vont devenir des voyous menteurs qui lui cassent le plus beau des rêves !

Et pourtant ! le père Noël existe bien !!!!

En lui disant le contraire c'est un double mensonge que vous lui offrez !
Dans l'imaginaire collectif, c'est un personnage véritable, et s'il n'a pas une existence physique, il possède vient une existence énergétique capable de créer des joies, voire des déceptions. Qu'importe qu'il soit relayé par des parents, amis ou autre, c'est un vrai personnage légendaire qui est à l'origine d'une matérialisation de cadeaux.
Sans le père Noël, y aurait il tous ces cadeaux sous les sapins le soir du 24 décembre ?
L'esprit du père Noël peut très bien passé par la cheminée comme les ondes radio ou télé !!!

A votre enfant, expliquez lui que la vie n'est pas que physique, et si le père Noël est représenté par des humains, symboliquement, qu'il existe vraiment dans la tête de chacun, et que les cadeaux sont bien l'œuvre de sa pensée.
Ne vous parait il pas évident de récompenser davantage un enfant sage que désagréable à Noël ?
c'est la preuve que Priorité est faite aux enfant sages, point de mensonge dans tout cela !

Soyez donc adulte! Expliquez la vie visible et la vie invisible !
Expliquez que ses petits camarades sont dans l'erreur, et que si le père Noël n'est pas cet être extra terrestre qui passeraicavec es traineaux, son armée de Rennes, ses cadeaux pour la terre entière, en quelques heures de la nuit de Noël, par la cheminée, il n'en reste pas moins un personnage magique, qui continuera à apporter des cadeaux aux enfants sages chaque année à Noël !

soigner avec l'énergie- Luc Bodin Luc Bodin- soigner avec l'Energie
Soigner avec l'Energie : conférence du 27 novembre 2014 à Paris de Luc Bodin-partie 1
Première partie de la conférence tenue par Luc Bodin à l'institut de la protection de la Santé Naturelle le 27 novembre 2014 au Centre Sèvres à Paris
confbodin1.mp3
Fichier audio MP3 [59.9 MB]
Soigner avec l'Energie : conférence du 27 novembre 2014 à Paris de Luc Bodin-partie 1
Première partie de la conférence tenue par Luc Bodin à l'institut de la protection de la Santé Naturelle le 27 novembre 2014 au Centre Sèvres à Paris
confbodin1.mp3
Fichier audio MP3 [59.9 MB]

La partie 3 de la conférence et les questions réponses sont en zone audio du site

Vous découvrirez ci dessous les conseils saisonniers pour un vie en équilibre et meilleure santé et une revue de presse portant sur les parutions de lettres d'info médicales et naturopathiques...

ALERTE cholestérol- Désinformation médicale dans 17 grands média



La presse internationale répercute actuellement les résultats d'une nouvelle étude américaine sur les médicaments anti-cholestérol (statines), parue le 25 novembre 2014 dans la revue médicale de référence JAMA Internal Medicine [1].

Cette étude, selon les médias (j'en ai comptés au moins 17 qui reprennent cette information), conclut que la quasi-totalité des personnes de 66 à 75 ans devraient prendre des statines pour réduire leur risque cardiaque.

Voici des exemples pris au hasard :
 

« (Agence France Presse) - La quasi-totalité des personnes âgées de 66 à 75 ans devraient prendre des anti-cholestérols pour réduire leur risque d'infarctus ou d'accident vasculaire cérébral, selon une nouvelle étude publiée lundi aux Etats-Unis. » – le 25/11/2014

« (RTL-INFO) - Selon une nouvelle étude scientifique américaine, 97% des 66-75 ans devraient prendre un traitement anti-cholestérol composé de statines pour prévenir le risque de problèmes cardiovasculaires. » – le 26/11/2014

« TF1 – Cholestérol : presque tous les seniors devaient prendre des traitements de prévention » – le 25/11/2014
 

Nous allons montrer qu'il s'agit d'une présentation trompeuse des conclusions de l'étude.
 

Une présentation trompeuse des conclusions de l'étude

L'étude en question a été dirigée par un chercheur en cardiologie de l'Institut du Cœur de Minnéapolis, le cardiologue Michael Miedema.

Elle porte sur les nouvelles recommandations (« guidelines ») sur l'usage de statines émises par l'Association Américaine pour le Cœur (American Heart Association) en 2013 [2].
Ces recommandations sont controversées car beaucoup de médecins et chercheurs les jugent excessives, conduisant à mettre sous médicament des personnes qui ne l'étaient pas auparavant.
En effet, l'Association Américaine pour le Cœur a fortement abaissé le niveau de risque cardiaque à partir duquel elle recommande la prise de médicaments contre le cholestérol.

Elle recommande désormais de donner des médicaments anti-cholestérol à toutes les personnes ayant un risque d'infarctus ou d'attaque cérébrale (AVC) supérieur à 7,5 % dans les 10 ans à venir, ainsi qu'aux personnes diabétiques, aux fumeurs et aux personnes ayant un taux élevé de cholestérol.
Cela conduit mécaniquement à recommander ces médicaments à un nombre beaucoup plus important de personnes âgées.
Ce nombre est même tellement important que Michael Miedema et son équipe se sont demandés combien d'Américains étaient désormais concernés.

Ils notent dans leur étude :
 

« (…) la limite de 7,5 % de risque cardiovasculaire à partir de laquelle la recommandation de traitement a été définie est agressive, créant une recommandation presque universelle de traitement pour les individus âgés de 65 à 75 ans ». [3] (c'est nous qui soulignons)
 

L'étude a donc consisté à calculer le risque de décès par maladie cardiaque au cours des 10 ans à venir chez 6 000 citoyens blancs et noirs américains entre 66 ans et 90 ans.


Et la conclusion de l'étude est éloquente :
Si l'on suit les recommandations de l'Association Américaine pour le Cœur, plus de 97 % des personnes entre 66 et 75 ans tombent dans les catégories dites « à risque » et donc à recommandation de traitement.

Ce nombre est tellement élevé qu'il en devient absurde, surtout lorsqu'on connaît les effets indésirables des statines, qui sont loin d'être négligeables [4].

C'est d'ailleurs exactement ce que soulignent les auteurs de l'étude, notant que

« Les effets de ces nouvelles recommandations aux personnes âgées sont importantes car elles ont un risque élevé de maladie cardiovasculaire mais elles pourraient aussi souffrir des effets indésirables de l'usage de statines » [5] (c'est nous qui soulignons).
 

Selon nous, après lecture attentive de l'étude, il est clair que le Dr Michael Miedema et son équipe sont d'avis que les recommandations de traitement de l'Association Américaine pour le Cœur sont excessives.

Ils n'ont pas du tout cherché à montrer que toutes les personnes âgées devaient prendre des statines !

D’autant plus qu’ils savent pertinemment que le mode de calcul de ce risque (7,5%) est non seulement très contestable (à la limite du ridicule pour un scientifique sensé) mais aussi très contesté, voire rejeté, par bon nombre d’experts, y compris américains [6].
 

Les médias interprètent l'étude à l'envers

Ironie du sort, les médias du monde entier se sont emparés de l'affaire pour proclamer qu'il était prouvé que quasiment 100 % des personnes âgées devaient prendre des statines (médicaments contre le cholestérol) !

C'est pourtant un contre-sens complet !

Le Dr Miedema avait pris soin de préciser à la presse qu'il n'y avait « aucune conclusion à tirer sur l'efficacité des statines sur les personnes âgées », suite à son étude [7].

Rien ne permet aujourd'hui d'affirmer que cette opération de communication est téléguidée par le lobby pharmaceutique.

Toutefois, il est absolument clair que la manière dont l'information est traduite par les médias ne correspond pas aux conclusions logiques de l'étude ; et encore moins à l’interprétation que peuvent en faire des médecins praticiens responsables de leurs patients.
 

Participez à notre effort de ré-information

Cette affaire montre à quel point l'information médicale est aujourd'hui manipulée à grande échelle.

Quand il s'agit d'encourager la consommation non-réfléchie d'un médicament, avec à la clé une plus-value importante pour l'industrie pharmaceutique, beaucoup de médias oublient toute prudence. Les statines génèrent actuellement 25 milliards de dollars de chiffre d'affaires chaque année [8].

Il ne faut donc pas croire les gros titres qui affirment ou suggèrent que tous les seniors profiteraient des médicaments contre le cholestérol.

C'est le message contraire qu'ont voulu faire passer ces chercheurs : lorsqu'on lit leur étude dans son intégralité, on comprend que leur avis est que les nouvelles recommandations de traitement par médicaments anti-cholestérol de l'Association Américaine pour le Cœur sont exagérées, car si on les suivait, cela conduirait à mettre quasiment toute la population sous statines.

Merci de faire circuler ce message le plus largement possible

 

 

 

 

En accord avec la nature!

les boites plastiques au micro onde: Danger !

14 nov. 2014
le danger du micro onde
Ajouter un commentaire

scandale...

7 nov. 2014
Ajouter un commentaire

bienvenue sur ce blog

7 nov. 2014
Ajouter un commentaire

Biomagnetiseur,
Energie-thérapeuthe

Maître Reiki

Radiesthésiste

Micro-nutritioniste

 

23 T rue Gerard de Nerval

77280 OTHIS

      

uniquement sur RV

au : 06 11 92 21 92

 

Vous pouvez également utiliser notre formulaire de contact.


Appel

Email

Plan d'accès