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Memory Prana

AMÉLIORATION DE LA MÉMOIRE ET DE LA VIGILANCE

 

 Cette composition améliore la circulation cérébrale, augmente l’oxygénation et le métabolisme du sucre au niveau du cerveau. Elle permet d’influencer favorablement le fonctionnement de la mémoire et de diminuer les désordres locomoteurs, de la concentration, de la vision, et les dommages oxydatifs.

 

 

Composition par gélule

 

Magnésium Bisglycinate (20% de Magnésium)    180 mg  Phosphatidylsérine de Soja (garantie à 50% Phosphatidylsérine pure)

 30 mg Bacopa Monnier ( 20% Baosides)

100 mg Ginkgo Biloba *(Naturellement riche en Glucoflavoïndes et Terpenolactones)

70 mg Glutathion réduit  

10 mg N-Acétyl Cystéine

10 mg L-Carnitine

 20 mg Poudre de Noix

 60 mg Complexe Vitamines du groupe B: B3, B5, B6, B9, B12 :

 

Détail concentrations Vitamines B : Vit B3: 3,00mg par gélule soit 56.25% des AJR pour 3 gélules Vit B5: 1,01mg par gélule soit 50% des AJR pour 3 gélules Vit B6: 0,46mg par gélule soit 100% des AJR pour 3 gélules Vit B9: 0,06mg par gélule soit 90% des AJR pour 3 gélules Vit B12: 0,80µg par gélule soit 96% des AJR pour 3 gélules

 

 * Ginkgo Biloba Ratio 50:1 (50g de Feuilles donne 1g de matière active, c’est-à-dire la concentration  la plus élevée autorisée en phytothérapie dès 2015)

Formule 100% Active = Zéro Excipient

 

 

Conseil d’utilisation

 

2 à 3 gélules par jour avec un grand verre d’eau (1 gélule le matin au moment du repas, 1 gélule le soir avant le coucher).

 

 

LA MÉMOIRE

 

Le cerveau est le centre de contrôle de toutes les activités physiques et intellectuelles de l’organisme.
Il compte environ 12 milliards de neurones qui établissent de multiples connections entre eux.

Certaines de ces zones sont chargées de la mise en réserve de l’information: la mémoire.

Dès la trentaine, une lente dégénérescence des cellules nerveuses s’organise.  Les chercheurs ont longtemps pensé que ces cellules ne se renouvellent jamais.  Cependant, à l’heure actuelle, les scientifiques ne sont plus si catégoriques, les recherches conjointes en biotechnologie et en biochimie avancée permettent de lutter contre de telles détériorations.

Ces découvertes permettent déjà de prévenir la mortalité cellulaire, de développer voir d’accroître la mémoire et l’intelligence.

 

 

 

LA  PHOSPATIDYLSERINE 

 

 

 La phosphatidylsérine :

 

 La phosphatidylsérine fait partie de la famille des phospholipides qui sont des composés majeurs des membranes entourant les cellules de l’organisme. Dans les neurones, où sa concentration est particulièrement élevée, c'est le phospholipide le plus abondant. La phosphatidylsérine cérébrale, est constituée d’acides gras à chaîne longue. Cette caractéristique lui permet de traverser la barrière hémato-encéphalique pour se fixer dans le cerveau, plus précisément dans les membranes des neurones.  Particulièrement abondante dans les cellules du cerveau, la phosphatidylsérine est génératrice du bon fonctionnement des neurones. Une théorie sur les troubles de mémoire liés à l'âge suggère une cause fondée sur des anomalies de structure ou de fonction des membranes cellulaires des neurones. Ces anomalies, attribuables à des changements dans la composition en lipides du cerveau, engendreraient un transit anarchique de l'influx nerveux d'un neurone à l'autre. Une administration de phosphatidylsérine pourrait alors rétablir une composition favorable au fonctionnement normal des neurones. La phosphatidylsérine module à la hausse les taux de neurotransmetteurs chez les animaux et les sujets humains atteints de la maladie d'Alzheimer.                  Lors de tests sur des animaux, elle semble aussi réduire l'atrophie de certains neurones.

Plusieurs études cliniques ont démontré l'efficacité d'un supplément en phosphatidylsérine, sur des périodes de 6 à 12 semaines consécutives, lors de traitements des fonctions cognitives de personnes atteintes par la maladie d'Alzheimer ou d'autres démences séniles.                                                                                                                        L’action est plus efficace encore lors de symptômes moins sévères. Quant aux fonctions mnémoniques, 149 personnes, traitées pendant 12 semaines, ont vu s'améliorer leurs capacités de mémorisation et à réaliser des tâches quotidiennes faisant appel à la mémoire vive.  Les résultats constatés indiquèrent une efficacité proportionnelle au degré d’affection des patients.

 

 

 

Phosphatidylsérine et Gaine de Myéline :

 

La composition chimique de la myéline est très particulière. La myéline centrale contient 70 % de lipides (cholestérol, phospholipides et glycolipides) et 30 % de protéines ; ce rapport est inversé dans la membrane des autres types cellulaires. Cette richesse en lipides exclut l’eau et les ions qui y son dissouts, et fait de la myéline un bon isolant électrique.   

 

Les fibres nerveuses couvertes de myéline transmettent les signaux depuis nos organes sensoriels au cerveau et depuis le cerveau et la moelle épinière aux muscles volontaires. Nos actions qui sont sous notre contrôle sont si rapides et automatiques qu’il nous semble que les muscles se contractent dès que la pensée se produit dans notre cerveau. La raison pour laquelle nos mouvements suivent si vite nos perceptions, sans nous demander de faire un effort conscient, est que la transmission des fibres amyéliniques (dépourvues de myéline) dont la vitesse de conduction n’excèdent pas 2,3m/s, des fibres myélinisées dont la vitesse de conduction, proportionnelle à l'épaisseur de myéline, peuvent atteindre  120 m/s. La myélinisation des axones des nerfs accélère la conduction de l'influx nerveux très rapidement, sans nécessiter de grands apports d'énergie supplémentaire et sans occuper beaucoup d'espace supplémentaire. Si la myéline n’existait pas, les signaux électriques fuiraient dans les tissus environnants ce qui diluerait le signal et probablement nuirait au corps. De plus, cette substance isolante augmente la conductibilité de manière significative, et permet donc au signal de se déplacer encore plus vite. La gaine de myéline est produite par deux types de cellule selon leur position dans le système nerveux : •  les oligodendrocytes qui se trouvent dans le système nerveux central (SNC). •  les cellules de Schwann qui se trouvent dans le système nerveux périphérique (SNP). Le SNC comprend le cerveau et la moelle épinière tandis que le SNP regroupe tous les nerfs qui innervent les organes à partir du SNC.   les cellules, productrices de la gaine de myéline, ne se distinguent pas seulement par leur position mais également par leur composition et leur organisation. Une seule cellule oligodendrocyte envoie des prolongements qui s’enroulent en plusieurs couches autour de plusieurs axones. Contrairement à la cellule de Schwann qui s’enroule et s’étend tout le long d’un seul axone. De plus, la composition de la myéline en protéines et lipides diffère entre ces types de cellule, ce qui est en commun pour ces deux types de cellules c’est la présence en forte concentration de cholestérol, phospholipides et glycolipides.

 

 

Puisque l'organisme est en mesure de la synthétiser, la phosphatidylsérine n'est pas considérée comme un nutriment essentiel. Par contre, cette synthèse est complexe et demande une certaine dépense énergétique, un effort que l'organisme peut avoir du mal à fournir en cas de maladie ou de vieillissement. D'où l'intérêt d'un apport extérieur sous forme d'aliment ou de supplément. D'autant plus que, chez les aînés, la baisse du taux de phosphatidylsérine dans le cerveau est associée à une détérioration des fonctions cognitives et de la mémoire, ainsi qu'à la dépression. L'administration de phosphatidylsérine cérébrale permettrait donc de participer à la restauration de  l'intégrité des membranes neuronales altérées.

 

 

 

          LE  BACOPA  MONNIER 

 

Le Bacopa,  est une plante de l’Ayurveda (médecine traditionnelle de l’Inde) depuis près de 30 siècles. Des documents anciens le préconisaient pour traiter divers états affectant l’intellect ou le système nerveux central comme l’ anxiété, les troubles cognitifs, problèmes d’attention, de dépression, d’épilepsie, etc. 

En Inde le bacopa est reconnu par les autorités médicales indiennes comme un traitement valable pour la mémoire, ainsi que pour certaines dysfonctions mentales et intellectuelles.Traditionnellement, on presse les feuilles et les tiges pour en tirer le jus ou en les faisant sécher pour ensuite les réduire en poudre.                 De nos jours on fabrique des extraits dont la teneur en bacosides A et B, les substances actives de la plante, est normalisée à  20% en phytothérapie.

 

Les considérations scientifiques:

 

Plusieurs études menées en Inde ont mis en évidence l'efficacité du bacopa pour améliorer les facultés cognitives et la mémoire, pour aider à soigner l'anxiété ainsi que pour contribuer à diminuer la fréquence des crises d'épilepsie chez certains patients.

En occident les scientifiques ne s’y sont intéressés que dans les années 1960 mais ont confirmé dès cette date que le bacopa stimule bien la mémoire, favorise la vigilance et la concentration. Depuis ils lui ont découvert de nombreuses autres propriétés notamment au début des années 2001 et 2002. Les résultats de quatre essais publiés en Inde indiquent que le bacopa peut améliorer les facultés cognitives et la mémoire chez les étudiants en bonne santé et les personnes atteintes de dysfonction intellectuelle.  

 

En 2001, des chercheurs australiens ont montré qu’au bout de douze semaines de traitement, l’extrait de bacopa (300 mg par jour) avait augmenté la vitesse de traitement de l’information, de même que la capacité d’apprentissage et la mémoire des patients traités. Dans cette étude il était demandé d’accomplir des tâches complexes, manuelles et intellectuelles en augmentant le degré de difficulté de manière croissante. Le temps d’apprentissage du groupe prenant du bacopa a été plus court que dans le groupe témoin. Dans un autre essai australien, les effets du bacopa ont été comparés à ceux d’un placebo chez 76 adultes de 40 à 65 ans. On a noté une amélioration très significative de leur mémoire, particulièrement la mémoire immédiate. De manière surprenante, ils font aussi preuve d’une curiosité et d’une disponibilité intellectuelle supérieure. D’autres études toujours en cours, semblent aussi montrer une diminution de la fréquence des crises épileptiques chez certains patients, mais cela reste à confirmer, en absence de données suffisantes. 

 

Mode d’action du Bacopa:

Les Bacosides A et B du Bacopa Monnier favorise la synthèse de protéines dans l'hippocampe, région du cerveau associée à la mémoire à long terme. 

Les bacosides A et B agissent également sur la transmission nerveuse.                                                             Selon le prix Nobel de médecine/physiologie 1998, Robert F. Furchott, le bacopa agit en accroissant la production de  monoxyde d’azote (NO), un messager chimique d’une importance essentielle, car présent un peu partout dans l’organisme, à tel point qu’en 1992, le  magazine américain «Science» a élu le NO, molécule de l’année.. Dans des conditions de stress associées à la privation de sommeil, l’administration de bacopa permet de réduire les concentrations de glutamate et d’accroître celle de Gaba (acide gamma aminobutyrique) dans différentes zones cérébrales. Les niveaux d’anxiété seraient ainsi réduits d’environ 20%, la fatigue mentale diminuée et les niveaux de sérotonine (le neuromédiateur du sommeil) accrus.

 

 

 

 LE GINKGO BILOBA 

 

 

Le ginkgo contient des substances antioxydantes auxquelles on attribue également la capacité d’augmenter le diamètre des vaisseaux sanguins (vasodilatatrices). Bien que l’on sache que l'extrait de ginkgo améliore la circulation sanguine favorisant entre autres la micro-circulation cérébrale, on ne connaît pas précisément ses mécanismes d’action. Plusieurs substances actives semblent être impliquées, parmi lesquelles la quercétine, les bilobalides et les ginkgolides. Ces substances réduisent aussi la viscosité du sang et peuvent protéger les cellules nerveuses grâce à leurs effets antioxydants.

Les Glucoflavoïndes et Terpenolactones naturellement présents dans le Ginkgo Biloba offrent à cette plante des vertus extraordinaires pour l’organisme.

Autres vertus du Ginkgo :                                                                                                                                    Maladie de Raynaud. L’extrait normalisé de feuilles de ginkgo est reconnu par l’Organisation Mondiale de la Santé pour le traitement des troubles liés à la résistance artérielle périphérique, dont la maladie de Raynaud fait partie. Des données préliminaires indiquent que l’extrait de ginkgo biloba peut réduire les symptômes de cette maladie.

  Vitiligo. Des extraits de ginkgo ont donné des résultats prometteurs pour le traitement du vitiligo. Des doses quotidiennes de 120 mg ont stoppé la progression de la maladie, et même réduit la dépigmentation de la peau dans certains cas.

 

 

   LE GLUTATHION  REDUIT 

 

Le glutathion est appelé le maître antioxydant du cerveau. Il joue un rôle essentiel dans la protection de cet organe vital contre les radicaux libres. De nombreuses bibliothèque nationale de médecine indiquent que les dommages des radicaux libres dans les tissus du cerveau peuvent être associées à des troubles neurodégénératifs. La neutralisation de ces radicaux libres devient une fonction essentielle du glutathion dans le cerveau.

Contrairement aux autres organes du  corps humain, le cerveau est le plus déficient dans les défenses contre le stress oxydatif. Cette carence peut laisser le cerveau vulnérable à quelque chose appelé “peroxydation lipidique” (dégénérescence par oxydation des lipides). Alors que le cerveau ne représente que 2 % de la masse du corps, il utilise presque 20 % de l’oxygène de l’organisme. Etant fortement oxygéné, le cercveau devient très sensible à la production endogène de radicaux oxygénés. 

Riche en lipides à acides gras insaturés,  le cerveau est une cible pour la peroxydation lipidique. Les résultats sont les dommages cellulaires qui peuvent s’accumuler dans le temps pour provoquer des troubles graves . La génération des espèces réactives de l'oxygène (radicaux libres) et les dommages oxydants sont une cause importante de la mort de neurone (cellule de cerveau) des dommages de cerveau. De plus, ces régions du cerveau riches en catécholamines sont exceptionnellement fragiles face à la génération de radicaux libres. 

 

Selon Dr. Jimmy Gutman, « le cerveau est particulièrement susceptible de l'attaque de radical libre parce qu'il produit des sous-produits plus oxydants par gramme de tissu que n'importe quel autre organe. »

Beaucoup de processus neurologiques et psychiatriques de la maladie sont caractérisés par des anomalies dans le métabolisme du glutathion et des défenses antioxydantes. Les radicaux libres et les dommages oxydatifs des neurones sont connus pour être une cause primaire des maladies dégénératives comme la maladie d'Alzheimer.

Glutathion et maladie d'Alzheimer :                                                                                                                             Une étude portant sur le tissu du cerveau de personnes décédées des suites de la maladie d'Alzheimer a montré un contenu plus faible de glutathion et de glutathion peroxydase ainsi que des niveaux plus élevés de lipides peroxydés que dans ceux de personnes âgées mortes sans pathologie importante du cerveau.      La maladie d'Alzheimer a été reliée à des niveaux anormalement élevés d'aluminium dans le cerveau. Lorsque l'on donne à des patients atteints de la maladie d'Alzheimer des chélateurs de métaux qui poussent l'aluminium hors des cellules du cerveau, leur état s'améliore de façon significative et la progression de la maladie est ralentie. L'une des plus importantes fonctions du glutathion étant d'éliminer des métaux toxiques tels que l'aluminium, il semble que le déclin lié à l'âge des niveaux de glutathion pourrait être la cause d'une accumulation de métaux toxiques aboutissant à une activité radicalaire dans le cerveau riche en oxygène. 

Glutathion et maladie de Parkinson:

 Dans la maladie de Parkinson, la perte des neurones dopaminergiques a pour résultat un renforcement du métabolisme de la dopamine augmentant la formation de H2O2 (eau oxygénée) entraînant la génération de radicaux hydroxyles fortement neurotoxiques. Des études ont montré que la perte de glutathion qui se manifeste avec le vieillissement dans les neurones dopaminergiques peut apporter différentes modifications dans les cellules. Ces modifications, combinées à l'oxydation de la dopamine, semblent hâter la mort cellulaire et faire avancer la progression de la maladie de Parkinson.                                                                                   

Glutathion et santé de l'œil :

 On a montré que les niveaux de glutathion lenticulaires, dans l'œil, diminuent en fonction de l'âge, chutant d'une concentration de 3,5 µmol/g à l'âge de 20 ans à 1,8 µmol/g à 65 ans.   Le glutathion et son enzyme, la glutathion peroxydase, agissent comme de puissants antioxydants pour protéger la transparence du cristallin en stoppant ou/et réparant les dommages cellulaires causés par les radicaux libres. 

 

Augmenter les niveaux de glutathion : 

Sous forme de suppléments nutritionnels, l’absorption du glutathion reste limitée parce que le système intestinal de l'homme  contient des quantités importantes d'une enzyme (gamma-glutamyltranspeptidase) qui décompose le glutathion. Certains chercheurs pensent que d'autres suppléments peuvent augmenter la vitesse d’absorption ou de synthèse du Glutathion. La vitamine C augmente le glutathion en aidant le corps à le synthétiser. D'autres nutriments et, notamment, l'acide alpha-lipoïque, la glutamine, la méthionine, la SAMe,  la cystéine ou la mélatonine concourent également à augmenter les niveaux de glutathion. La vitamine B6, la riboflavine et le sélénium sont indispensable pour que l'organisme puisse fabriquer du glutathion. Les mécanismes par lesquels ces nutriments augmentent efficacement les niveaux de glutathion chez l'homme restent cependant peu expliqués.

 

 

N-Acétyl-Cystéine et Vitamine B

 

 

La N Acétyl Cystéine (NAC) est une molécule connue pour augmenter la durée d’action du Glutathion.   Des travaux de recherche, in vitro et in vivo, indiquent que la NAC est capable de stimuler la biosynthèse du glutathion. In vivo, la NAC augmente les niveaux de glutathion intracellulaire dans les érythrocytes ainsi que dans les cellules du foie et des poumons et restaure les stock de glutathion après qu'ils aient été expérimentalement diminués. Chez l'homme, la supplémentation avec de la NAC par voie orale normalise le niveau de glutathion.

la N-acétyle-cystéine (NAC) est un précurseur de glutathion, déjà éprouvé à l'usage aux Etats Unis pour traiter les personnes en overdose d’acetaminophen (Drogue).

 La NAC s’est révélé être un traitement efficace contre certains dommages du cerveau lors de privations d’oxygène.

Dans l'étude de l'Alzheimer entreprise par Gallois GP, Andrew McCaddon, ajoutant le précurseur de glutathion, la N-acétyle-cystéine (NAC) à la Vitamine B12 et folique, un résultat observable et soutenu a été observé chez presque tous les patients.

 

 

 L-CARNITINE

 

Des  recherches montrent que les personnes atteintes du syndrome de fatigue chronique ou d’épuisement professionnel ou intellectuel présentent une carence en carnitine. 

La carnitine contribue de manière significative à la production d’énergie, en transportant les acides gras dans les centres énergétiques cellulaires (mitochondries). Ainsi, la carnitine  peut améliorer l’approvisionnement énergétique des cellules du cerveau. En cas de fardeau mental et physique intense, un apport exogène en carnitine peut être tout à fait subtil. 

La carnitine combat de nombreux symptômes du vieillissement, comme notamment l’insomnie .

La glande pinéale vieillissante, le taux de mélatonine diminue avec l’âge, entraînant notamment l’insomnie. La carnitine  peut limiter cette tendance.                                                                                           

Associés à l’acide folique Vit B9, la vitamine B12 et la vitamine B6, les acides aminés et la carnitine aident  à maintenir les capacités intellectuelles

La L-Cartinitine contribue à restaurer l’énergie mentale, et aide à lutter contre les dommages oxydatifs.

 

 

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