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Les dangers de l'aspirine

Satanée aspirine

portrait de Yves RasirJ’accuse !  Non, je ne me prends pas pour Zola en pleine affaire Dreyfus, mais c’est un peu kif-kif : j’accuse les autorités de mentir au peuple et de protéger un criminel pour accabler un faux coupable ! En l’occurrence, l’objet de mon indignation remonte au 28 janvier dernier : une petite fille belge  de onze ans est décédée de la grippe, le virus ayant atteint son cœur durant la nuit. C’est son papa qui l’a trouvée, le matin,  inanimée à côte de son lit. Interrogé par les journaux locaux, un virologue en vue, le Dr Marc Van Ranst, a expliqué que ce genre de tragédie rarissime était la conséquence d’une « tempête de cytokines », c’est-à-dire  d’une production  trop abondante de ces substances impliquées dans la réaction immunitaire. Questionné plus avant, le distingué professeur, qui est un peu le « monsieur Grippe » des autorités sanitaires en Belgique,  a ajouté que la tempête de cytokines est un phénomène mystérieux, dont la science ne sait pas encore comment ni pourquoi il survient.  C’est ça, le flagrant de délit de mensonge !  Et un mensonge mortel car il risque de faire d’autres jeunes victimes  innocentes!

 

Une « tempête de cytokines »  peut se manifester lorsque le virus de la grippe  entre au contact de la trachée et des poumons. Ces sentinelles de l’immunité déclenchent une inflammation qui n’est en fait que la réponse normale de l’organisme pour aider à repousser le virus. Le problème est que cette tempête est tellement violente qu’elle conduit à une pneumonie et à un syndrome de détresse respiratoire aiguë, contribuant ainsi à l’exceptionnelle sévérité de la maladie.  Les chercheurs ont également constaté que ce phénomène était proportionnel à la capacité du malade de répondre  énergiquement à l’irruption virale. Autrement dit,  qu’il est l’expression d’un système immunitaire vigoureux et en bonne santé. Cela se traduit par la libération de  plus de 150 médiateurs de l’inflammation, dont les fameuses cytokines.  Cette tempête est donc clairement la réponse exagérée d’un corps sain et en pleine forme.

 

Cela ne vous rappelle rien ?  Oui, c’est ça : c’est exactement ce qui s’est passé lors de l’effroyable pandémie de  grippe espagnole en 1918-1919, qui a fait entre 30 et 100 millions de morts.  À l’époque, c’est en grande majorité des jeunes gens en pleine fleur de l’âge, et non des vieillards affaiblis, qui ont succombé. Non pas au virus H1N1, mais à des pneumonies bactériennes secondaires sévères, comme l’a montré une étude parue en 2008, pour laquelle les chercheurs ont examiné les tissus pulmonaires de 58 victimes et épluché 8.000 rapports d’autopsies. Une seconde étude, publiée la même année, a amplement confirmé la première.  Les deux auteurs affirment que ce n’est pas un virus hypervirulent qui a décimé le globe, mais bien  la colonisation des voies respiratoires par des bactéries  responsables de pneumopathies mortelles.  Pourquoi ces ravages bactériens ? Ça aussi, ça a été éclairci grâce à une troisième étude dont je vous ai déjà parlé plusieurs fois.  Publiée en 2009 par le Dr Karen Starko,  cette étude démontre que la surmortalité enregistrée en 1918 aux Etats-Unis est imputable aux overdoses d’acide acétylsalicylique, autrement dit à l’aspirine !  Toute cette histoire scientifique a déjà été racontée par un confrère,  le magazine Nexus, dans son édition  de novembre 2013.

Ce n’est donc pas un virus meurtrier ni une bactérie tueuse qui a dévasté la jeunesse mondiale à l’aube du XXème siècle, mais un produit pharmaceutique maléfique qui a le don de court-circuiter l’immunité et de provoquer des tempêtes de cytokines. Car ces dernières, pro-inflammatoires, ont aussi la mission de déclencher la fièvre, processus naturel qui va éliminer les virus impliqués dans l’infection grippale  et les bactéries impliquées dans les complications pulmonaires.  Il tombe sous le sens que l’usage intempestif de l’acide acétylsalicylique (principe actif de l’aspirine) enraie la réaction normale du corps et que celui-ci riposte par  une inflammation redoublée.  D’ailleurs,  on soupçonne d’autres molécules fébrifuges, comme le paracétamol (Dafalgan..) et les anti-inflammatoires non stéroïdiens (Ibuprofen…) d’avoir le même effet perturbateur. Pour preuve,  il est allègrement prouvé que les médicaments antipyrétiques prolongent la maladie chez les personnes atteintes de la grippe. Serait-ce le cas si la fièvre n’avait pas un rôle positif et précieux à jouer ?

 

Il est donc scandaleux que le Dr Van Ranst  fasse mine d’ignorer les lourds soupçons pesant sur l’aspirine et ses comparses.  La recherche du Dr Starko  a été publiée dans Clinical Infectious Diseases,  qui n’est pas un obscur journal dissident mais une prestigieuse revue scientifique. Comment peut-on faire semblant qu’elle n’existe pas  quand on a la charge de la politique sanitaire  d’un pays face à la grippe ?   Bien sûr, rien ne permet d’affirmer que la fillette décédée a avalé de l’aspirine ou un autre « remède » antifièvre.  Mais comme ce genre de produit est en vente libre et qu’il bénéficie d’une réputation médicale très favorable, il y a gros à parier  que ce fut le cas.  La moindre des choses eût été que  le virologue s’inquiète de savoir si la petite fille en  avait consommé à l’apparition de ses symptômes, et en quelle quantité.   Je l’accuse non seulement de mensonge,  mais  aussi de négligence coupable,  risquant d’entraîner la mort d’autres jeunes victimes qui seraient emportées par une tempête de cytokines.

Pour nos  enfants, brisons l’omerta !

Yves Rasir- Néosanté

 

 

 

suite...

Curieux : suite à cet article sur les méfaits de l’aspirine, j’ai reçu plusieurs  réactions courroucées et incrédules, genre « si c’était vrai, ça se saurait ». Je citais pourtant de solides références, mais certains lecteurs  ont apparemment pensé que je les avais fabriquées. Il est difficile de croire qu’une vérité aussi énorme – un médoc banal agit parfois  comme un poison mortel – ait pu être cachée si longtemps par les médias de masse. C’est cependant un fait : la puissance du conformisme et  le phénomène d’autocensure poussent fréquemment la presse conventionnelle à rejeter ou à minimiser des révélations dérangeantes. Savez-vous, par exemple, que de nombreux médicaments  d’usage courant chez les personnes âgées peuvent augmenter de 50% leur risque de développer une forme de démence sénile, comme la maladie d’Alzheimer ?  Voilà encore une information  de première importance qui a failli passer inaperçue, tant sa couverture médiatique a été mince.

 

L’étude scientifique (1) qui dévoile ce nouveau  scandale sanitaire a été publiée le 26 janvier dernier sur le site de la prestigieuse revue JAMA Internal Medicine .  Réalisée à l’Université de Washington à Seatle et financée par l’institut national américain de la santé (NIH),  elle indique que l’accumulation de substances anticholinergiques, présentes dans de nombreux médicaments, peut altérer la communication entre les neurones et perturber la mémoire. La recherche a été conduite  sur 3.434 sujets âgés de plus de 65 ans qui ont été suivis pendant 7 ans en moyenne et qui étaient exempts de toute démence au début de ce suivi.  Leur exposition cumulative à des anticholinergiques  a été évaluée grâce à l’analyse de leurs dossiers pharmaceutiques, lesquels  sont informatisés aux États-Unis.  Les résultats sont d’abord effarants en ce qui concerne l’ampleur de la dégradation cérébrale des personnes âgées : en effet,   durant le suivi moyen de 7 ans,  pas moins 23,2% des séniors ont développé une démence, dont 79,9% de type maladie d’ Alzheimer.  Un Américain retraité sur quatre  vieillit donc très mal et finit  par perdre la tête !  Mais le plus gros pot-aux-roses découvert, c’est celui-ci : chez les sujets soumis aux plus fortes doses d’anticholinergiques pendant une  dizaine d’années, le risque de démence était accru de 54%, et celui de maladie d’Alzheimer de 63 % !

 

Ce lien statistique très significatif témoigne indubitablement que la consommation de produits pharmaceutiques contenant la substance incriminée est dommageable pour le cerveau. La recherche suggère aussi que les dégâts peuvent être irréversibles, même après avoir arrêté de prendre ces médicaments pendant plusieurs années.

 Or, de très nombreux patients (entre 8 et 37 % des personnes âgées, selon les enquêtes) sont traités par des médicaments aux effets anticholinergiques. Il peut s’agir  de molécules spécifiquement créées pour exercer une  action  inhibitrice sur l’acétylcholine (comme par exemple, dans la maladie de Parkinson,  pour traiter l’incontinence urinaire ou les spasmes intestinaux), mais également de « remèdes » non spécialement  prévus pour ça, mais qui ont cet effet secondaire collatéral.  Parmi les médicaments concernés, on trouve des antidépresseurs,  des somnifères et des anxiolytiques, mais aussi de simples antihistaminiques. Vous voulez une liste ?  J’en ai trouvé une sur un site canadien, qui comprend 82 médicaments, dont les appellations commerciales peuvent bien sûr varier selon les pays.  « Les patients âgés devraient savoir qu’un grand nombre de médicaments, dont certains sont vendus sans ordonnance, ont de puissants effets anticholinergiques », a souligné le Dr Shelly Gray, coordonnatrice de l’étude. « Et les médecins traitants devraient régulièrement vérifier les médicaments pris par leurs patients, y compris ceux vendus sans ordonnance, pour voir comment les remplacer. »

 

À l’intention des lecteurs sceptiques quant à l’action délétère de l’aspirine, je souligne qu’il s’agit, ici encore, de médicaments pas toujours soumis à prescription ou qui, même s’ils le sont, se bousculent dans les mallettes de généralistes et  les piluliers distribués en maisons de retraite. On achève bien les vieux ?  Moi, ce qui m’a surpris, c’est que le problème n’est pas neuf.  Dans un article du Journal International de Médecine (JIM), je lis par exemple que «  si l’on sait de longue date que les anticholinergiques peuvent avoir dans l’immédiat des effets négatifs lors de leur prise sur les capacités cognitives, en particulier chez les sujets âgés, quelques études observationnelles ont laissé penser qu’ils pouvaient accroître à long terme le risque de démence ». Autrement dit, on sait depuis belle lurette que les étagères des pharmacies sont pleines de médocs toxiques pour la santé mentale des séniors. Le principe de précaution n’a pas été appliqué et il est à craindre que cette nouvelle étude ne suffise pas encore à le mettre en œuvre. 

Oui, on achève bien les vieux ! Si vous connaissez des personnes âgées multidroguées par leur médecin, ayez donc le réflexe fraternel de les mettre au parfum, par exemple en partageant cette article.

 

                                                                     Y Raisir

 

 

Biomagnetiseur,
Energie-thérapeuthe

Maître Reiki

Radiesthésiste

Micro-nutritioniste

 

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