centre de santé globale Othis, hygiène de vie Othis, état naturel d’équilibre Othis
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L'énergie-thérapie , des ondes bénéfiques pour votre santé !
L'énergie-thérapie , des ondes bénéfiques pour votre santé !

Ho'oponopono

 

Plus qu'une technique, c'est un art de vivre, enseigné à Abundia prana.

Appliqué dans les protocoles de soins elle aide à prendre conscience de notre rôle de co-createur de notre vie, et aide à résoudre ou reconsidérer nos problèmes.

 

Abundia Prana prépare un stage d'un week end (en octobre 2016) sur cet art de vivre.

Manifestez votre intérêt par mail à : abundia.prana@laposte.net

 

  • Les origines d' ho' oponopono​

  •  
  • Reproduction d'une  interview avec :
    Morrnah Simeona et le Dr. Stan Hew Len*
    par Deborah King – contributeur régulier du New Times
  •  

"Nous pouvons faire appel à la Divinité qui connaît notre modèle personnel, pour soigner toutes les pensées et mémoires qui nous retiennent en ce moment présent ", indique gentiment Morrnah Simeona. "Il s’agit d’aller au-delà des moyens traditionnels d’accès à la connaissance de soi-même".

Le procédé dont parle Morrnah se base sur une ancienne méthode Hawaïenne de réduction du stress (lâcher prise) et de résolution de problèmes appelée Ho’oponopono.


Le mot Ho’oponopono signifie rendre droit, rectifier une erreur.
Morrnah est une native hawaïenne Kahuna Lapa’au. Kahuna signifie "gardien du secret" et Lapa’au signifie "spécialiste guérisseur". Elle fut choisie pour être Kahuna quand elle était encore enfant et reçu le don de guérir à l’âge de trois ans. Elle est la fille d’un membre de la cour de la reine Liliuokalani, dernier souverain des Iles d’Hawaï.
Le procédé qui est maintenant révélé est la modernisation d’un ancien rituel spirituel de purification. Il s’est révélé tellement efficace que Morrnah a été invitée aux Nations Unies, à l’organisation Mondiale de la Santé et dans de nombreuses institutions pour enseigner cette méthode à travers le monde entier.

Mais comment fonctionne le Ho’oponopono ?


Morrnah explique : "Nous sommes la somme totale de nos expériences, ce qui revient à dire que nous sommes chargés de nos passés. Lorsque nous expérimentons du stress ou de la peur dans nos vies, si nous nous appliquions à voir avec attention, nous pourrions nous rendre compte que la cause est en fait une mémoire.
Ce sont les émotions qui sont liées à ces mémoires qui nous affectent maintenant. Le subconscient associe une action ou une personne dans le présent avec quelque chose qui s’est produit dans le passé.
Lorsque cela se produit, les émotions sont activées et le stress survient".

Elle poursuit, "Le but principal de ce procédé et de découvrir la Divinité Intérieure. Le Ho’oponopono est un cadeau profond qui permet à chacun de développer une relation avec la Divinité à l’intérieur de soi et d’apprendre comment demander qu’à chaque instant, nos erreurs en pensées, paroles et actions soient nettoyées. Le procédé vise essentiellement la liberté, la complète libération du passé".

Chaque mémoire liée à chaque expérience, depuis le premier moment de notre création, il y a des temps immémoriaux, est enregistrée et stockée dans le règne éthérique.

Cet incroyable ordinateur/enregistreur est aussi connu sous le nom de subconscient, Unihipili, l’aspect Enfant à l’intérieur de chacun de nous.
Cet enfant intérieur est tout à fait réel et représente une partie du Soi.

 

Les autres aspects étant la Mère, identifiée sous le nom de Uhane, le mental rationnel, puis le Père personnifiant la superconscience ou l’aspect Spirituel.
Ils forment tous trois la Famille Intérieure, qui en association avec le Divin Créateur forment l’identité de Soi.
Chaque être humain existant dans la création, chaque plante, atome et molécule sont fait de ces trois Soi et cependant chaque modèle reste complètement différent.

Le plus important pour chacun est de trouver sa véritable identité et sa véritable place dans l’Univers.
Ce procédé permet que cette compréhension devienne accessible.

 

Le but du Ho’opnopono est de :


           1) Se connecter avec la Divinité Intérieure instant après instant

           2) Demander que chaque mouvement et ce qu’il contient soit nettoyé.
           Seule la Divinité peut le faire.
          Seule la Divinité peut effacer ou corriger les mémoires et les formes pensées.
Puisqu’elle nous a créés, elle seule sait ce qu’il se passe avec chacun.

Dans ce système, nul besoin d’analyser, de solutionner ou de faire face aux problèmes. Puisque la Divinité nous a créés, il suffit de se diriger vers Elle et de lui demander correction et nettoyage

.

En ce qui concerne la solution aux problèmes : le monde est une réflexion de ce qui se passe à l’intérieur de nous.
Si vous expérimentez de l’irritation ou du déséquilibre, c’est à l’intérieur de vous-même qu’il faut aller voir et non pas à l’extérieur, où se trouve ce qui semble causer le problème. Chaque stress, déséquilibre ou maladie peut être corrigé par le travail sur soi-même.


   Il est important de signaler que ce système diffère des autres formes du Ho’oponopono : Dans la méthode traditionnelle tous ceux qui sont impliqués doivent être physiquement présents et résoudre le problème ensemble ;  dans la méthode de Morrnah, tout peut être géré par vous et la Divinité. Nul besoin de s’éloigner d’un centimètre de vous-même pour obtenir de l’aide ou des réponses. Personne ne peut jamais vous donner de meilleures informations que celles que vous pourrez trouver en entrant à l’intérieur de vous-même.

 

Morrnah recommande particulièrement le Ho’oponopono à ceux qui travaillent dans les métiers du soin et de la guérison : "Il est important de nettoyer les modèles karmiques avec vos clients avant de commencer à travailler avec eux, ainsi vous ne réactiverez pas des vieilles choses entre vous.
Peut-être devriez-vous ne pas travailler du tout avec cette personne.
Seule la Divinité sait. Si vous travaillez avec une personne avec laquelle vous n’avez rien à voir, vous pouvez vous retrouver avec son problème et tout ce qui lui est associé. Cela peut causer du surmenage.

Le Ho’oponopono propose des outils pour éviter que cela se produise".

Morrnah souhaite que dans la société Occidentale, chacun d’entre-nous travaille à la réduction du stress. "Les Occidentaux ont les plus grandes difficultés à laisser l’intellect en arrière. Il est très difficile pour un mental Occidental de comprendre la réalité d’un Etre Supérieur parce que dans les églises Occidentales, les Etres Supérieurs ne sont pas mis en évidence". Elle poursuit : " l’Occidental est allé très loin avec son intellect qui divise et maintient les gens séparés. L’homme est devenu destructeur parce qu’il manipule et contrôle plutôt que de laisser la force perpétuelle de la Divinité circuler à travers lui et le guider dans l’action correcte".

Morrnah travaille avec son associé le Docteur Stanley Hew Len* qui a passé plusieurs années comme  psychologue clinicien à l’Hopital d’Etat d’Hawaï. Il a obtenu des résultats marquants en utilisant cette méthode avec les criminels psychopathes les plus dangereux et violents à Hawaï. Cependant, il ne leur a jamais parlé, de fait il ne les a même jamais vus. Il écrivait leurs noms puis se mettait juste à travailler sur lui-même. Il purifiait ses jugements, croyances, attitudes et demandait à la Divinité ce qu’il pouvait faire pour cette personne. Au fur et à mesure que ces liens et mémoires étaient nettoyés, les patients guérissaient. "La Divinité", commente Stan, "dit qu’il est temps de ramener les enfants à la maison".

*également connu sous le nom de Docteur Ihaleakala Hew Len.

Lien vers le site Hoponopono France:
http://hooponoponofrance.org/

 

Par eveil et sante le 4 Mars 2011 à 19:11

 

Par Darrell Sifford – Mardi 2 décembre 1980- Philadelphia Inquirer.

Je ne suis même pas sûr d’avoir été donné mon accord pour  cet entretien --- simplement, j’étais curieux. Après tout, combien de fois dans la vie a-t-on l’occasion de rencontrer un honnête Kahuna pur et dur ?

Non, ce n’est pas une faute de frappe, j’ai réellement parlé avec un Kahuna. Ce mot Hawaïen signifie littéralement "le gardien du secret", et parmi les Hawaïens, il fait communément référence à un maître spirituel, un guérisseur qui  les protège contre ce qui les affecte, --- que ce soit physiquement ou spirituellement.

Je me retrouve donc avec mon carnet et mon stylo, lorsqu’arrive Morrnah Simeona, avec son allure de grand-mère, en tricot blanc et jupe de flanelle grise, fille d’un des membres de la cour de la Reine Liliuokalani, qui fut le dernier souverain des Iles de Hawaii.

Morrnah revient d’une conférence à l’Université de Hawaii et se trouve à Philadelphie pour un séminaire de travail décrit comme " Métaphysique Hawaïenne". Elle partira ensuite donner une conférence à Baltimore à l’Université de Hopskins.

Que s’est-il passé avec elle --- pas comme conférencière, mais en tant que Kahuna ? Et bien, malgré son anglais aussi simple que celui d’un annonceur de radio, j’ai le plus grand mal à comprendre ce qu’elle me raconte. Essentiellement, cela ressemble à cela:

"Nous avons tendance a être hantés par nos vieilles peurs, émotions, idées et réactions, ce qui contribue non seulement à une détresse psychologique quotidienne, mais aussi à la maladie physique, puisque nous pouvons purement attribuer la plupart des maladies aux pressions que nous créons". Le rôle d’un Kahuna est de nous aider à traquer et à effacer la poubelle qui nous pollue l’existence --- à peu prés de la même façon que nous traquons et supprimons les informations inutiles dans un ordinateur.

Bon, tout ça n’a pas l’air trop farfelu, n’est-ce pas ? Evidemment, ce qui devrait se produire, si quelque chose devait se produire, c’est que nous nous sentions beaucoup mieux après une séance avec le Kahuna, puisque nous nous attendons à nous sentir mieux. C’est le vieil effet placebo, sujet sur lequel le Docteur Herbert Benson, cardiologue à Harvard, a beaucoup écrit et qui commence à susciter enfin un certain respect dans la communauté médicale.

Mais voilà, Morrnah n‘avait jamais entendu parler de l’effet placebo. Après avoir écouté mes explications, elle me répond que cela n’a pas grand-chose à voir dans la mesure où la plupart des gens qu’elle voit n’ont pas de bien grandes attentes. Pour certains, c’est juste une pause de plus dans leur quête sans fin de bonheur et d’accomplissement.

Le plus étrange, dit Morrnah, c’est que cette quête est inévitablement abandonnée après nos rencontres… parce que leurs problèmes disparaissent. De plus, elle peut aider des gens qu’elle n’a jamais rencontrés en travaillant sur eux à travers ceux qui viennent la voir.

La seule chose nécessaire, dit-elle, c’est de faire appel au divin créateur de notre choix "à travers la divinité qui est en chacun de nous… qui est véritablement une extension du Divin Créateur".

Elle poursuit : "La liturgie dit :
Divin créateur, père, mère, fils, tous en un…si moi, ma famille, mes proches et ancêtres vous avons offensés, vous, votre famille, vos proches et vos ancêtres, par des mots ou des actions depuis le début des temps jusqu’à nos jours, nous vous demandons pardon…Nettoyons, purifions, relâchons, supprimons toutes ces mémoires négatives, blocages, énergies et vibrations et transmutons ces énergies non-désirées en pure lumière…
Et il en est ainsi ! ".

Cet invocation est nommée Ho’oponopono, elle peut être trouvée dans toutes les religions, dit Morrnah, parce que "dans chaque foi, il y a toujours une invocation où nous demandons pardon à ceux que nous avons offensés…Mais nous allons plus loin : jusqu’aux familles, aux proches et aux ancêtres, parce qu’il est possible que le problème s’enracine chez un grand-père qui aurait fait sauter la tête de quelqu’un dans un autre siècle". Ce que nous expulsons et transformons en "lumière pure", dit-elle, parce qu’autrement, "nous polluerions notre atmosphère avec toute ces déchets rejetés." Mais en tant que pure lumière, il n’y a pas de contamination possible".

Au moment où elle prononce les mots « Et il en est ainsi", la transmutation a lieu. Morrnah précise : "l’ordinateur efface automatiquement" la poubelle qui a été gardée depuis…qui sait depuis combien de temps ?

Ce qui est formidable avec ce système, dit-elle, c’est que "c’est simple, pratique et infaillible, que chacun peut le faire, du plus jeune au plus âgé. C’est difficile à appréhender pour la plupart des intellectuels"… parce que c’est très simple, et vraiment infaillible. N’aurais-je pas moi-même quelque problème à lui soumettre ?

Très bien, au nom du ciel, comment vais-je pouvoir écrire un article sur ce sujet ? Les gens penseront que je suis devenu fou…et ils auront raison. Mais d’accord, Morrnah, je suis d’accord pour suivre ce programme. Les choses ne vont pas très bien avec mon fils aîné depuis mon divorce, et les choses sont certainement difficiles avec mon ex épouse. Qu’en penses-tu, Morrnah ?

"Divin Créateur, père, mère, fils, tous Un…si moi, ma famille, mes proches et mes ancêtres vous ont offensés".

Peu après, l’entrevue se termine, et toute l’affaire me sort de la tête. J’ai un avion à prendre pour aller en Caroline du Nord, où les avocats m’attendent pour régler les derniers détails de mon divorce.

Jay a 22 ans. L’hiver dernier, lorsque je l’ai revu pour la première fois après trois ans, il est resté distant et m’a dit qu’il ne pourra jamais me regarder comme un père et que peut-être nous pourrions être amis…mais pas très proches, parce que nous n’avons pas grand-chose en commun.

L’autre soir, nous avions fini de dîner dans un restaurant, lui, moi et mon plus jeune fils, Grant. Une fois Grant reparti dans son logement au campus du Lycée, Jay et moi grimpons dans la voiture que j’ai louée et commençons à sortir du parking. C’est à ce moment-là que Jay a baissé le volume de la radio et m’a dit que ses pensées avaient changé à mon sujet.

"Je sais que tu m’aimes" dit-il, " et j’en ai vraiment besoin. Je veux que tu saches combien je te respecte et combien j’admire la personne que tu es devenu".

Le jour suivant, je rencontre mon ex-femme et une fois les avocats partis, elle me dit qu’elle n’est plus aussi amère, que tout ça est probablement pour le mieux et que nous en avons probablement profité tous les deux pour grandir.

Chacune de ces deux conversations me frappent immédiatement par leur changement drastique de position. C’est étrange, et tout cela s’est produit en 24 heures.

Ce n’est qu’après être revenu à Philadelphie, alors que je fouille dans mes carnets de travail que je tombe sur les notes concernant mon entrevue avec Morrnah Simeona, la Kahuna.

Morrnah, tu n’aurais pas ….as-tu ?

 

Par eveil  et sante le 4 Mars 2011 à 19:31

 ParIhaleakala Hew Len, PH.D.


John regarde le texte de son travail sur l’écran de son ordinateur pendant qu’il tape. Un message apparaît et lui annonce qu’il vient de faire une faute. Il supprime la faute et fait la correction. Personne ne s’attend à ce qu’il se mette à crier ou à accuser son ordinateur pour cette erreur.

Ces derniers jours, Peter a rechigné à aller à l’école. Cela ne lui ressemble pas. D’habitude, il se lève et s’habille tout seul. "Le bus ne va tarder à arriver" lui rappelle sa mère. "Tu dois te préparer". Elle lui a parlé mais ne comprend toujours pas ce qui se passe. Elle ira voir son professeur. Sa réaction est typique de celle des parents dans cette situation. Personne ne s’attendrait à ce qu’elle cherche à l’intérieur d’elle-même pour trouver la source du problème et sa solution.

Bill, 40 ans, a un mal de dos sévère et chronique. Il est client volontaire dans un programme d’entrainement pour thérapeutes. "Depuis quand avez-vous mal au dos ? " demande un thérapeute. " Comment cela a-t-il commencé" demande un autre. "Avez-vous été stressé récemment ? " demande encore un autre. Puis, au milieu de ce déluge, une question inattendue : "Que se passe-t-il à l’intérieur de moi qui se manifeste comme une douleur dans le bas du dos de Bill ?", "C’est qui, le petit malin ?", demande suspicieusement l’instructeur.

La responsabilité totale, tout comme l’argent poussant sur les arbres, ça n’existe pas. Cela n’arrive ni sur la surface du globe, ni dans les relations sociales, ni au sein des familles, ni au travail, ni dans les entreprises commerciales, ni dans les directions régionales ou gouvernements nationaux, ni dans les communautés religieuses et encore moins dans les milieux thérapeutiques.
Malheureusement, les problèmes, les maladies et même la mort découlent de cette irresponsabilité.

Il existe pourtant un moyen de sortir des problèmes et de la maladie, à la portée de n’importe quel individu prêt à être 100% responsable de la création de sa vie à chaque instant. Dans l’ancienne technique Hawaïenne de guérison du Ho’oponopono, l’individu demande à l’Amour de rectifier ses erreurs à l’intérieur de lui-même. "Je suis désolé, s’il te plait pardonnes-moi pour quoique ce soit à l’intérieur de moi qui se manifeste ainsi sous la forme de ce problème". La responsabilité de l’Amour transmute alors l’erreur qui se manifeste comme un problème, à l’intérieur de lui. L’Amour procède en effaçant et en corrigeant la faute, tout comme dans l’exemple de John devant son ordinateur, mais dans la banque de données informatique du mental.

Si la mère de Pete le demandait, l’Amour effacerait dans ses propres pensées, l’erreur qui se manifeste comme un problème chez son fils. Dans leur travail, les thérapeutes pourraient demander à l’Amour d’effacer de leur propre mental les erreurs qui se manifestent comme problèmes chez leurs clients.

Dans le mariage de la Responsabilité Totale et de l’Amour, les problèmes trouvent leurs solutions, la santé est restaurée et la vie renouvelée.

Ceci est évoqué lyriquement par Shakespeare dans le Sonnet CXLVI :
 

" Vends tes heures de poussière sur terre en échange de temps au ciel.
Nourris-toi au dedans, et ne t’enrichis plus au dehors.
Ainsi tu te nourriras de la mort qui se nourrit des hommes ;
et, la mort une fois morte, tu n’auras plus rien de mortel ".


Apprenez les véritables Amour et Pardon à travers l’ancienne pratique Hawaïenne du Ho’oponopono.
4. UNE MAISON DIVISEE

Par eveiletsante le 4 Mars 2011 à 19:34

Une maison divisée
Par Ihaleakala Hew Len, Ph.D.


Une maison divisée contre elle-même ne peut tenir debout. C’est vrai pour les nations, les communautés, les organisations et les familles, aussi bien que pour les individus. Dans la Maison de l’Humanité, l’individu est le dénominateur commun. Quand l’individu est divisé, la maison est divisée.

Dans le jeu du tennis, le système anglais de comptage des points  est : Amour (Love*), 15, 30, 40, jeu. Le jeu commence avec l’Amour. Dans l’étymologie du mot, l’Amour n’est ni le résultat, ni l’enjeu, il sert simplement à ramener l’individu à l’Amour de rien, à la totalité.
* NDT : Love, apparemment serait une ancienne traduction du mot français "l’œuf ", ressemblant à un ZERO et signifiant ainsi le début de la partie.

Le procédé consiste à évacuer la colère, la peur, la culpabilité, le ressentiment, les formes pensées empoisonnées et les énergies toxiques qui divisent le mental, la maison de l’individu, provoquant la chute dans la l’inharmonie et dans la maladie.     

Le but de la vie est de retourner à l’Amour, instant après instant. Pour atteindre ce but, l’individu doit comprendre et accepter qu’il est responsable à 100% de la vie qu’il se crée. Il doit réaliser que ce sont ses propres pensées qui créent sa vie telle qu’elle est, instant après instant. Les problèmes ne viennent pas des gens, des lieux ou des situations mais bien des pensées liées à ces sujets. Il doit prendre conscience qu’il n’y a rien qui ressemble d’aucune façon à "en dehors". Les gens, les lieux et les situations existent seulement comme il les pense.

Un problème, c’est une mémoire toxique qui se répète, ce que Shakespeare décrit comme un "gémissement gémit par avance". Une mémoire toxique qui se répète, divise le mental contre lui-même, contre l’Amour. La version révisée du Ho’oponopono est un processus de repentance, de pardon et de transmutation, une demande à l’Amour de vider et de prendre la place énergétique de la mémoire toxique. L’amour accomplit cela en circulant à travers le Mental, en commençant par le Mental Spirituel, la Super Conscience. Il continue son circuit à travers le Mental intellectuel, le Mental Conscient, en le libérant des énergies de pensée. Finalement, il se déplace dans le Mental Emotionnel, le Subconscient, vide les pensées d’émotions toxiques et les remplace par lui-même.

Voici un outil de pensée purificateur que chacun peut utiliser pour vider les énergies toxiques de ses pensées.

Penser mentalement : "J’allume la Lumière dans mes pensées au sujet de moi-même, de ma famille, de mes proches et de mes ancêtres". Il n’y a aucune limite à l’utilisation de cet outil. C’est une prière faite à l’Amour, lui demandant de nettoyer les pensées toxiques qui divisent votre Mental, votre maison, au sujet de vous-même, votre famille, vos proches et vos ancêtres.

Le but de la vie n’a pas changé avec l’arrivée du nouveau millénaire ! Il est et sera toujours le même:
Etre restauré à l’Amour instant après instant. L’accomplissement de ce but requiert la responsabilité individuelle absolue. Il requiert la conscience du vrai problème qui divise d’abord l’individu, puis en second, tout ce qu’il y a autour. Une maison divisée contre elle-même ne peut pas tenir debout.

 

Par eveiletsante le 14 Mars 2011 à 15:42

RESPONSABILITE À 100 %

...et la possibilité d’une glace nappée de chocolat fondu :
Une entrevue avec Haleakala Hew Len, de Cat Saunders

"Ou nous nous tuons nous-mêmes ou nous prenons soin de nous, il n’y a pas d’entre-deux "
Haleakala Hew Len, Ph.D.

← Qui est cet homme et pourquoi porte-t-il une casquette de base-ball ?

Comment remerciez-vous quelqu’un qui vous a aidé à vous libérer ? Comment remerciez-vous un homme dont la gentillesse d’esprit et les déclarations cinglantes ont pour toujours changé votre vie ? Tel est pour moi Haleakala Hew Len. Une âme sœur qui apparaît au moment où l’on en a le plus besoin. En mars 1985, Haleakala est arrivé dans ma vie, alors que j’étais en pleins bouleversements. Je l’ai rencontré pendant un séminaire appelé " Auto-I-dentité à travers le Ho’oponopono" qu’il proposait avec Morrnah Nalamaku Simeona, Kahuna (Gardienne du Secret), native hawaïenne.

 

Pour moi, Haleakala et Morrnah font partie du rythme de la vie. Bien que je les aime profondément tous les deux, je n’y pense pas comme à des gens, pourtant leur influence est tout le temps là, telle la pulsation des tambours dans une nuit africaine. Il a peu de temps, j’ai eu l’honneur d’interviewer Haleakala, à travers la Fondation of I, Inc (Liberté pour le Cosmos), une organisation fondée par Morrnah. J’étais encore plus honoré lorsque j’ai appris qu’il ferait le voyage depuis Hawaii pour me rencontrer personnellement.

 

Le docteur Haleakala S. Hew Len est le président et l’administrateur de la Fondation. Avec Morrnah, il a travaillé avec des centaines de personnes, depuis plusieurs années, y-compris des groupes aux Nations Unies, à l’Unesco (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization), la Conférence Internationale de l’Unité Humaine sur la Paix Mondiale, (World Peace Conference), la Conférence sur la Médecine Traditionnelle Indienne (Traditional Indian Medicine Conference), Guérisseurs pour la paix (Healers for Peace) en Europe, et l’Association des Enseignants d’Etat d’Hawaii (The Hawaii State Teachers Association). Il a aussi une très grande expérience avec les personnes handicapées, les criminels malades mentaux et leurs familles. Dans tout son travail d’éducateur, le processus du Ho’oponopono est la fondation de chacun de ses efforts.

 

Simplement dit, Ho’oponopono signifie "rendre droit", "rectifier une erreur". D’après les anciens Hawaïens, l’erreur provient de pensées colorées par des mémoires du passé. Le Ho’oponopono offre un moyen de relâcher l’énergie de ces pensées douloureuses, ou erreurs, qui sont à l’origine des déséquilibres et de la maladie.

En complément du processus du Ho’oponopono, Morrnah a reçu la consigne d’y inclure les 3 parties du soi qui sont la clef de l’Auto-Identité. Ces trois parties - qui existent dans chaque molécule de la réalité - sont appelées : Unihipili (l’enfant/le subconscient), Uhane (la mère/le conscient) et Aumakua (le père/la superconscience). Lorsque cette "famille intérieure" est alignée, la personne est en rythme avec la Divinité. A travers cet équilibre, la vie commence à circuler. Le Ho’oponopono vient alors aider à la restauration de l’équilibre, d’abord dans l’individu, puis dans toute la création.

 

Tout en me présentant ce système tripartite ajouté au plus puissant processus de pardon que je n’aie jamais vu (ho’oponopono), Haleakala et Morrnah m’ont enseigné ceci : La meilleure façon d’amener la guérison dans chaque partie de ma vie - et dans l’univers tout entier - est d’en prendre 100 % la responsabilité et de travailler sur moi-même. De plus, ils enseignent la simple sagesse du soin apporté à soi-même. Sur le petit mot de remerciement envoyé par Haleakala après notre entrevue il dit ceci : " Prends bien soin de toi, si tu le fais, nous en serons tous bénéficiaires"

 

Un jour, Haleakala disparut une après-midi tout entière au beau milieu d’un séminaire parce que son Unihipili (enfant/subconscient) lui avait demandé de retourner à l’hôtel et de faire une longue sieste. Bien sûr, il se savait responsable de son absence et Morrnah était présente pour enseigner. Mais même ainsi, sa sortie m’a fait une forte impression. Pour quelqu’un comme moi, éduqué dans une famille et une culture m’ayant toujours sermonné sur le devoir de penser d’abord aux autres, le comportement d’Haleakala était tout à fait surprenant et délicieux. Il a fait sa sieste, et moi j’ai reçu une bonne leçon sur comment prendre soin de soi.

Cat : Haleakala, au moment où je t’ai rencontré en 1985, je venais juste de commencer à donner des séances individuelles comme conseillère d’entreprise. Je me souviens que tu as dit : "Toute thérapie est une forme de manipulation." Et moi j’ai pensé : "Zut alors! Je fais quoi maintenant ?" Je savais que tu avais raison et j’ai failli abandonner! Evidemment je ne l’ai pas fait, mais cette phrase a transformé complètement ma façon de travailler avec les gens.

 

Haleakala : La manipulation apparaît à partir du moment ou "je" (en tant que thérapeute) arrive avec l’idée que tu es malade et que moi je vais travailler sur toi. D’un autre côté, cela cesse d’être une manipulation, si je pars du principe que tu viens vers moi pour me donner l’opportunité de regarder ce qui se passe en moi. La différence est énorme.

 

Si la thérapie se base sur l’idée que tu es là pour sauver l’autre personne, soigner l’autre personne ou diriger l’autre personne, l’information que tu véhicules viendra de ton intellect, du mental conscient. Mais l’intellect n’a pas de véritable compréhension des problèmes ni de comment les approcher. L’intellect est tellement tatillon dans sa manière de résoudre les problèmes! Il ne se rend pas compte qu’un problème se résout par la transmutation - en utilisant le Ho’oponopono ou des méthodes semblables - et que c’est comme ça que le problème et tout ce qui l’entoure se résout, jusqu’au niveau microscopique et jusqu’au début des temps.

 

Je pense donc que la première question est " qu’est-ce qu’un problème ?" Si tu poses cette question aux gens, il n’en ressort aucune clarté, ils trouvent juste un moyen de résoudre le problème…

Cat : …comme si le problème était "dehors"….

 

Haleakala : Oui. Par exemple, l’autre jour j’ai reçu un coup de téléphone de la fille d’une femme de 92 ans. Elle me dit : "ma mère a des douleurs sévères à la hanche depuis plusieurs semaines". Je demande à la divinité : "Pourquoi me raconte-t-elle ça à moi ? Que se passe-t-il à l’intérieur de moi qui fait que j’ai créé la souffrance de cette femme?" Puis, je demande : "Comment puis-je rectifier ce problème à l’intérieur de moi?" La réponse vient et je fais tout ce qu’on me demande.

Environ une semaine plus tard, la femme me rappelle et me dit : "Ma mère se sent beaucoup mieux maintenant". Cela ne signifie pas que le problème ne se répétera pas, parce que les causes d’un même problème sont souvent multiples.

Cat : J’ai souvent des problèmes chroniques qui reviennent ainsi. J’y travaille tout le temps en me servant du Ho’oponopono et d’autres techniques de nettoyage pour me faire pardonner de tout le mal que j’ai causé depuis le début des temps.

Haleakala : Oui. L’idée de base étant que des gens comme nous sommes dans les métiers de la guérison à cause de tout le mal que nous avons causé.

 

Cat : ça alors !

Haleakala : N’est-ce pas merveilleux de le savoir et de recevoir tous ces gens qui en plus nous payent pour leur avoir causé tous ces problèmes?

 

Je dis ça à une femme à New -York et elle me répond : "Mon Dieu, s'ils savaient !" Mais tu vois, personne ne sait; Les psychologues, les psychiatres, ils continuent à penser qu’ils sont là pour aider l’autre à guérir.

 

Donc, quand quelqu’un comme toi arrive, je demande à la Divinité : "S’il te plaît, quoi qu’il se passe à l’intérieur de moi qui ait pu causer cette souffrance chez Cat, dis-moi comment le rectifier." Et j’applique quoique ce soit que j’entende, indéfiniment, jusqu’à ce que ta douleur s’arrête ou bien que tu viennes me demander d’arrêter. Le principal n’est pas tellement l’effet obtenu mais bien d’arriver à la source du problème. C’est ça la clef.

 

Cat : Tu ne te concentres pas sur le résultat parce que nous ne sommes pas en charge du résultat.

Haleakala : Correct. Nous ne pouvons que demander.

Cat : Nous ne savons pas non plus à quel moment telle douleur ou maladie va bouger.

Haleakala : Oui. Disons qu’une femme prend certaines plantes qu’on lui a recommandées, et que cela ne marche pas. De nouveau, la question sera : "Que se passe-t-il à l’intérieur de moi qui fait que cette plante ne marche pas pour elle ?" Je travaillerai sur ce point précis. Je continuerai à nettoyer, à garder ma bouche close et à permettre au processus de transmutation de faire son travail.
Dès que tu interviens avec ton mental, le processus s’arrête.


Il y a une chose dont il faut se souvenir lorsque le processus semble ne pas fonctionner : il est possible qu’il y ait de multiples erreurs à corriger - des problèmes multiples ou des mémoires douloureuses - qui causent la souffrance. Nous ne savons rien! Seule la Divinité sait ce qui se passe réellement.

J’ai fais une conférence à Dallas le mois dernier et j’ai parlé avec une femme, un professeur de Reiki. Je lui ai demandé : "Lorsque quelqu’un vient vous voir avec un problème, où se trouve le problème?" Elle m’a regardé interloquée et j’ai rajouté : "Vous êtes la cause du problème, alors votre client vient vous payer pour que vous puissiez vous guérir !" Personne ne comprend ça!

 

Cat : Responsabilité à 100%.

Haleakala : Sachant à 100% que tu es la cause du problème. Sachant à 100% que tu as la responsabilité de rectifier cette erreur. Tu t’imagines si nous savions tous que nous sommes responsables à 100%?

 

J’ai passé un accord avec moi-même il y a 10 ans ; Je m’offrirai une glace au chocolat fondu - si grosse que j’en serai malade - si jamais je réussis à passer une journée entière sans porter de jugements sur personne. Je n’ai jamais réussi à le faire! Je m’en rends compte plus souvent mais je n’ai jamais réussi à tenir toute une journée.

 

Alors, comment faire comprendre ça aux gens? Que nous sommes responsables à 100%. Si tu veux résoudre un problème, travaille sur toi. Si tu as un problème avec quelqu’un d’autre, demande-toi : "Que se passe-t-il à l’intérieur de moi qui fait que cette personne me casse les pieds?" Les gens apparaissent dans ta vie uniquement pour te casser les pieds! Si tu le savais, tu pourrais élever n’importe quelle situation et la libérer. C’est tout simple : "Je suis désolé pour quoique ce soit qui se passe là. S’il te plaît, pardonne-moi".

 

Cat : Tu n’as pas besoin de le dire à voix haute et tu n’as même pas besoin de comprendre le problème.

 

Haleakala : C’est toute la beauté de la chose! Tu n’as pas besoin de comprendre. C’est comme pour Internet: tu ne comprends pas tout! Tu t’adresses simplement à la Divinité et tu dis "On peut télécharger?" Et la Divinité t’envoie toutes les informations nécessaires. Seulement, comme nous ne savons pas qui nous sommes, nous ne téléchargeons jamais directement de la Lumière. Nous cherchons au-dehors.

Je me souviens que Morrnah avait l’habitude de dire : "C’est un travail intérieur." Si tu veux réussir, fais ton travail intérieur. Travaille sur toi !

 

Cat : Je sais que la responsabilité à 100% est la seule chose qui marche, mais pendant longtemps, je m’en suis défendu, parce qu’à la base, je fais partie de ceux qui se sentent exagérément responsable des autres.

Quand je t’ai entendu parler de la responsabilité à 100%, non seulement pour moi-même mais pour chaque situation et chaque problème, j’ai pensé "Ho ! C’est de la folie ! Je n’ai vraiment pas besoin que quelqu’un vienne me dire qu’il faut que je me sente encore plus responsable !" Puis, plus j’y pensais, plus je réalisais qu’il y avait une grosse différence entre se sentir exagérément responsable des autres et devenir totalement responsable de soi-même. L’un parle d’être un bon petit garçon et l’autre parle de devenir libre.
Je me souviens de ce que tu disais à propos de tes années passées dans cet hôpital d’Etat Hawaïen pour criminels malades mentaux… Tu disais que lorsque tu as commencé à y travailler, le bâtiment réservé aux criminels n’était que violence et que lorsque tu en es parti 4 ans plus tard, il n’y en avait plus aucune.

Haleakala : C’est vrai. Je ne rentrais dans le bâtiment que pour vérifier les résultats. S'ils avaient encore l’air déprimé, je reprenais le travail sur moi-même.

 

Cat : Pourrais-tu nous raconter comment se servir du Ho’oponopono pour les objets soit disant inanimés ?

 

Haleakala : Je me trouvais dans un auditorium en train de me préparer pour une conférence et je parlais avec les chaises. Je leur disais : "Je n’en ai oublié aucune? Y en a-t-il une qui aurait un problème dont je devrais m’occuper?" Une des chaises me dit : "Tu sais, il y a un type qui s’est assis sur moi lors de la conférence précédente, il avait des problèmes financiers et maintenant je me sens vraiment crevée." Alors j’ai travaillé pour nettoyer le problème et je pouvais même voir la chaise se redresser. Puis j’ai entendu : "C’est bon! Je suis prête à recevoir le gars suivant !"

 

En fait, ce que j’essaye de faire c’est d’enseigner à la salle elle-même. Je disais à la salle et à tout ce qu’il y a dedans :

"Voulez-vous apprendre la technique du Ho’oponopono? Vous savez, je ne vais pas rester longtemps ici alors ce serait sympa si vous appreniez à le faire tout seuls, non?"

Certains objets ont répondu oui, d’autres ont dit non et d’autres encore ont répondu : "Je suis trop fatigué."

Ensuite je demande à la Divinité : "S'ils me répondent qu’ils veulent bien apprendre, comment puis-je les y aider ?"

Généralement, j’obtiens cette réponse : "Laisse leur ton livre bleu," (L’Auto I-dentité à travers le Ho’oponopono).

Alors je sors le livre bleu et je le laisse sur une table ou bien sur une chaise pendant que je parle. Nous n’accordons vraiment pas assez d’importance aux tables qui restent si tranquilles et perçoivent tout ce qui se passe!"

 

Le Ho’oponopono est tellement simple. Pour les anciens Hawaïens, tous les problèmes commencent comme une pensée. Mais avoir une pensée n’est pas le problème. Alors, quel est le problème? Le problème vient de ce que toutes nos pensées sont remplies de mémoires douloureuses, mémoires de gens, d’endroits ou bien de choses.

Le mental travaillant seul ne peut pas résoudre ces problèmes, parce que son travail est celui de la gestion. La gestion ne peut pas solutionner les problèmes. Ce que tu veux, c’est les laisser partir! Lorsque tu pratiques le Ho’oponopono, ce qui se passe c’est que la Divinité prend les pensées douloureuses, les neutralise ou bien les purifie. Tu ne purifies pas la personne, le lieu ou la chose. Tu neutralises l’énergie que tu as associée avec cette personne, ce lieu ou cette chose. Alors, le premier stade du Ho’oponopono, c’est la purification de cette énergie.

 

Et c’est là que quelque chose de merveilleux se produit : non seulement l’énergie est neutralisée mais elle est aussi relâchée, et l’ardoise est effacée. Les Bouddhistes appellent ça le Néant. Le stade final est celui où tu permets à la Divinité de venir et de remplir ce vide avec de la Lumière.

 

Pour pratiquer le Ho’oponopono tu n’as pas besoin de comprendre le problème ou l’erreur. Tout ce que tu as à faire c’est de t’apercevoir qu’il y a un problème, qu’il soit d’ordre physique, mental, émotionnel ou autre. Dés que tu t’en aperçois, ta responsabilité est de te mettre immédiatement à nettoyer en disant : "Je suis désolé, s’il te plaît pardonne-moi."

 

Cat : Alors le vrai travail du mental n’est pas de résoudre les problèmes mais plutôt de demander pardon.

Haleakala : Oui. Mon travail sur Terre est double; Mon premier travail est avant tout de faire amende honorable; Le second est de réveiller ceux qui pourraient être endormis. Presque tout le monde est endormi! La seule façon possible à ma disposition de les réveiller est de travailler sur moi-même. Notre entrevue par exemple: j’ai commencé à nettoyer quatre semaines avant la date de notre rendez-vous, afin que lors de notre rencontre, cela ressemble à deux flaques d’eau qui se rejoignent. Elles se traversent et se laissent libres. C’est tout.

 

Cat : C’est la première fois en 10 ans d’entrevues que je ne prépare rien pour une rencontre. Chaque fois que j’ai voulu m’y mettre, mon Unihipili me disait que je n’avais qu’à aller te rejoindre. Mon mental a tout essayé pour me convaincre de me préparer, mais je ne l’ai pas fait.

 

Haleakala : Tant mieux pour toi! Unihipili est parfois très amusant. Un jour, je roulais sur l’autoroute à Hawaii, et alors que je commençais à me diriger vers ma sortie habituelle j’entends mon Unihipili me dire "A ta place je ne sortirai pas là," et moi je pensais : "Mais je sors toujours ici !" Un peu plus loin, j’entends de nouveau : "Hou hou ! A ta place je ne sortirai vraiment pas par-là !" Deuxième chance. "Mais on sort toujours par cette sortie!"

Du coup je me mets à parler à voix haute et les gens dans les voitures autour de moi me regardent comme si j’étais fou. Quelques mètres plus loin j’entends : "A ta place je n’irais pas par-là !" J’ai quand même pris ma sortie et je me suis retrouvé bloqué pendant deux heures et demi. Il y avait un gros accident. Je ne pouvais plus ni reculer, ni avancer. Finalement mon Unihipili me dit "Je te l’avais bien dis !"

Après, il ne m’a plus adressé la parole pendant des semaines! Pourquoi l’aurait-il fait si je ne l’écoutais pas?

 

Je me souviens d’une fois où je devais parler du Ho’oponopono à la télévision; Mes enfants qui le savaient me dirent: "Papa, nous savons que tu va passer à la télé; Fais attention que tes chaussettes soient bien assorties!" Ils se fichaient complètement de savoir ce que j’allais y dire; Ils se souciaient uniquement de savoir si j’allais porter des chaussettes bien assorties. Tu vois comme les enfants savent bien ce qui est important ou pas dans la vie?

 

Si vous vous interrogez à propos de la casquette de base-ball, Haleakala la porte pour se souvenir de ne pas être trop intellectuel. Le fond bleu représente le Vide, le Néant et la lettre "P" rouge représente la Terre-Mère ou Force Créative, Pelé.

Cat Saunders, Ph.D : Elle est l’auteur du Livre "Dr. Cat's Helping Handbook"


Pour plus d’informations à propos de Cat ou de son livre, visitez le site : HYPERLINK "http://www.drcat.org"http://www.drcat.org

The New Time, Seattle - Washington USA - septembre 1997
Reproduction autorisée The New Times


6. AUTO-IDENTITÉ À TRAVERS LE HO’OPONOPONO

Par eveiletsante le 4 Mars 2011 à 19:38

par Mary Koehler

J’ai reçu récemment, un mot d’un ami me félicitant pour mon 24 ème anniversaire de mariage et me parlant de son expérience de l’Auto-Identité à travers le processus du Ho’oponopono, l’ancien Art Hawaïen de résolution de problèmes. Ce qui m’est apparu récemment, disait-elle, c’est comment nous CHANGEONS au fil des ans, dès le moment où nous prononçons nos vœux, physiquement, mentalement, émotionellement et spirituellement. Les jeunes mariés en ont-ils seulement la moindre idée ? Je sais que je n’en avais aucune. Puis, elle racontait à quel point ce processus a été pratique pour elle et la reconnaissance qu’elle en avait.

J’ai été saisi par sa description du procédé du Ho’oponopono en tant que procédé pratique. Les Hawaïens pensent que notre but ici-bas et de libérer et de permettre à l’AMOUR de solutionner nos problèmes. Dans chaque situation, nous avons la possibilité de prendre la responsabilité du problème et de s’enlever du milieu. Imaginez-vous passer la journée avec la disposition de voir chaque problème comme une opportunité de le libérer, de permettre à la transformation de se produire et de voir où nous conduit l’inspiration.

Je riais en me souvenant de ses mots, en regardant mon mari et où ma vie m’avait conduite. Je n’aurais pas pu m’en douter. Ca a l’air plutôt vrai que nous n’avons aucune idée des changements qui nous attendent en nous-mêmes, dans nos relations, nos familles, notre travail et dans le monde. Les Hawaïens croient qu’il n’est pas de notre ressort de savoir comment les choses se développeront, c’est le travail de l’AMOUR, le travail de Dieu, le travail de la Divinité, celui du Créateur, de la Déesse ou de n’importe quel autre nom que vous vouliez lui donner. Comme ils aiment à le dire, nous sommes là uniquement pour nous réparer nous-mêmes.

L’Auto-Identité à travers le Ho’oponopono voit chaque problème, non pas comme une épreuve, mais bien comme une opportunité. Les problèmes ne sont que des mémoires du passé qui repassent et qui se concrétisent uniquement pour nous donner une nouvelle chance de voir avec les yeux de l’AMOUR et d’agir à partir de l’inspiration. A travers une diversité d’outils de nettoyage, le procédé du Ho’oponopono permet à chacun de prendre la responsabilité du problème à 100 %, de le libérer et d’agir à partir de l’inspiration. L’un des merveilleux aspects de cette technique c’est qu’elle ne requiert qu’une seule personne pour fonctionner.

Mon mari et moi venons d’une grande famille et nous nous retrouvons souvent lors de grandes réunions familiales. Il est intéressant de voir comment ces réunions ont évolué au fil des ans, depuis que j’utilise ce procédé. Il y a cinq ans, il y en avait souvent un qui était contrarié ou en colère pour une raison ou pour une autre, qu’il le dise clairement ou pas. Je me retrouvais souvent en train de souhaiter qu’ils s’entendent un peu mieux les uns les autres ou bien encore qu’ils laissent tomber leurs querelles. A l’aide de ce procédé, j’ai commencé à prendre la responsabilité de mes pensées, à propos de ce qui pouvait se passer ou de ce que j’imaginais qu’il pourrait se passer pendant nos réunions. Et pour les Hawaïens, prendre ses responsabilités signifie nettoyer chacune de ces choses.

Le nettoyage se fait à l’intérieur. Prendre sa responsabilité ne signifie pas se rendre coupable ou partir du principe que j’ai tort. C’est la volonté d’entendre, de répondre à la mémoire qui se joue sous mes yeux. Dans la prise de responsabilité du problème et sous-jacent à plus de 60 outils de nettoyage, il y a : "je suis désolé, s’il te plaît pardonne-moi." Nous disons, je suis désolé, s’il te plaît pardonnes-moi au problème. Souvent ce sont des problèmes récurant sur plusieurs générations. Ils apparaissent pour nous offrir une chance de plus de les libérer. Lorsque nous disons, je suis désolé s’il te plaît pardonne-moi, l’AMOUR efface la mémoire et ainsi ce qui est juste et parfait peut se manifester. Nous ne pouvons pas effacer les problèmes ; Seul l’AMOUR le peut. Avez-vous déjà remarqué à quel point vous pouvez ignorer, espérer, accabler, vous mettre en colère à propos d’un problème, et à quel point ni cris, indifférence ou accusation ne peuvent vous en débarrasser ? Ce n’est pas notre travail : seul Dieu le peut. Et si l’un d’entre-nous veut bien prendre la responsabilité d’un problème, l’inspiration peut arriver pour nous tous.
J’ai remarqué que nos réunions familiales avaient changé au fil du temps. Chacun semble mieux s’amuser, les petites irritations vont et viennent plus légèrement et le mieux pour moi, c’est que je suis bien moins énervée et ne passe pas tout mon temps à souhaiter qu’ils s’entendent un peu mieux. J’ai remarqué plus de rires entre ma fratrie et le reste de la famille, les gens semblent moins stressés, se soucient moins des détails et nous sommes tous bien plus facilement d’accord. Les autres ont-ils changé ? Est-ce moi qui ai changé ? Je n’en sais rien, et avec le Ho’oponopono je n’ai pas besoin de trouver de réponse à cette question. J’ai remarqué que je voyais ma famille à travers les yeux de l’AMOUR bien plus souvent. Il n’y a rien qui cloche avec aucun des membres de ma famille…je ne pouvais tout simplement pas les voir. Avec le Ho’oponopono, j’ai une chance de voir les autres avec les yeux de Dieu et de laisser tomber les idées sur comment les choses devraient être.

Malheureusement, lorsque surgit un problème, on commence souvent par cogiter. On réagit, on pense, on réagit, on supporte, on réagit et pense encore. Alors assez rapidement, le petit problème grandit et c’est le chaos. Les Hawaïens regardent la pensée comme une mémoire qui se rejoue. Nous ne pouvons rien y faire. Nous ne pouvons nous trouver que là où nous sommes. Cette mémoire se représente pour nous donner une opportunité de plus d’être nous-mêmes. Donc, avec chaque problème vient l’opportunité d’en prendre la responsabilité, de laisser tomber les pensées et de se mettre à nettoyer. On se pose la question : "que se passe-t-il en moi qui fait que ce problème surgit maintenant ? " Nul besoin de trouver la réponse ; En reconnaissant la responsabilité nous avons une chance de rectifier les choses pour nous-mêmes, nos enfants, nos familles et ceux avec qui nous travaillons.

Lorsque surgit un problème et qu’une mémoire repasse, on ne s’en rend pas compte souvent. La mémoire qui se rejoue n’est pas qui nous sommes. Pour les Hawaïens, qui sommes-nous est une question très importante. Nous sommes parfaits, fait à l’image et à la ressemblance de Dieu, pleins, complets, hors du temps. Et les mémoires ne sont pas qui nous sommes. N’avez-vous jamais fait l’expérience de quelqu’un qui vous rappelle qui vous êtes vraiment et de vous rendre compte que vous n’êtes pas en train d’agir en accord ?

J’ai des jumeaux de 15 ans et ils sont très forts pour me rappeler qui je suis. Récemment, je répondais à l’un d’eux sur un ton d’énervement et il a levé la tête vers moi en disant très gentiment : "Maman, je ne sais pas qui est en train de me parler à cet instant, parce que ça ne te ressemble pas". J’ai réalisé qu’une mémoire était en train de passer, je me suis excusée et je l’ai remercié. Il s’était rendu compte que la personne énervée n’était pas sa mère et avait été inspiré de prendre la responsabilité de le dire.

Kurt, mon mari a aussi beaucoup de talent pour me rappeler qui je suis. Quelques fois, lorsque nous sommes devant une décision à prendre et que nos vues semblent en conflit, il murmure à mon oreille très doucement : "As-tu oublié que nous étions du même côté ?" Tout ce qu’il me reste à faire et de rigoler et de laisser tomber.

Il me rappelle que cette partie de moi conflictuelle n’est pas vraiment moi. Le procédé Hawaïen de l’Auto-Identité à travers le Ho’oponopono me rappelle que je suis entière, complète, parfaite, faite à l’image et à la ressemblance de l’Amour.

Un de mes outils favoris de nettoyage est le "Je t’aime". Chacun des outils de nettoyage du Ho’oponopono nait de la prise de responsabilité du problème, en disant, Je suis désolée, s’il te plaît pardonnes-moi et en permettant à l’AMOUR de transmuter le problème. Il suffit d’avoir la pensée Je t’aime. Je peux utiliser cet outil à tous les moments où surgit un problème. Je n’ai même pas besoin de ressentir le sentiment de Je t’aime. De fait, il est d’un très grand secours lorsque quelqu’un est vraiment en train de me casser les pieds. Tout ce que j’ai à faire et d’avoir la pensée Je t’aime et l’Amour effacera la mémoire en jeu, de sorte que ce qui est juste et parfait pourra circuler.

Il est souvent nécessaire d’utiliser l’outil plusieurs fois ou plusieurs jours ou même sur une période de temps illimitée, en raison des piles de mémoires accumulées à effacer. Nous sommes emplis de mémoire de haine, de mort, d’agonie et de maladie, et les mémoires peuvent provenir de nos familles, de nos ancêtres ou de nous-mêmes. Nous avons l’opportunité d’être libéré. Pouvez-vous vous imaginer la beauté qu’auraient nos enfants, si les mémoires n’étaient pas transmises et qu’ils soient libres de vivre selon l’inspiration ? Que se passerait-il si nous pouvions libérer chaque problème qui se présente et être dans le flux ? Que se passerait-il si nous n’avions pas à nous demander ce qui viendra derrière quand les personnes que nous souhaitions rencontrer nous appellent spontanément et que les problèmes se résolvent d’eux-mêmes sans notre intervention ? L’Auto-Identité à travers le Ho’oponopono est un procédé de résolution des problèmes simple et pratique qui nous donne cette opportunité. Nous avons une chance d’être notre moi Divin à chaque instant et en Paix. Une chance d’expérimenter la Paix au-delà de toute compréhension.

Reprinted by permission from NETWORK IRELAND Apr-Jul 2004

 

  • 9. IL DOIT BIEN Y AVOIR UN MOYEN PLUS FACILE

Par eveiletsante le 14 Mars 2011 à 15:50

IL DOIT BIEN Y AVOIR UN MOYEN PLUS FACILE

avec Ihaleakala Hew Len, Ph.D. & Mabel Katz, ABA, EA

Si votre mantra a jamais été "il doit bien y avoir un moyen plus facile", le Ho’oponopono est pour vous.
Cet ancien système de croyance Hawaïenne offre la cure à un monde qui a été submergé par les circonvolutions et modèles intellectuels de la pensée.

Rencontrer Ihaleakala Hew Len et Mable Katz, s’assimile à pénétrer dans une oasis de paix en plein milieu d’un grand magasin un jour de solde. Le docteur Ihaleakala est éducateur spécialisé et psychologue mais aussi pratiquant et enseignant de cet Art ancestral qu’il a retranscrit pour le monde d’aujourd’hui. Madame Katz est elle aussi pratiquante ; Elle a donné conférences et stages dans le monde entier au côté du docteur Ihaleakala. Elle a partagé quelques-unes de ses expériences d’utilisation des outils simples du Ho’oponoponon dans sa vie quotidienne en tant que comptable, négociatrice et coordinatrice d’événements.

Le docteur Ihaleakala attrape mon bloc-notes, me montre une page blanche et dit "C’est comme ça que nous arrivons tous…propres, nous souvenant de qui nous sommes, sans idées préconçues, nous sommes le 1, qui représente notre totalité. Puis, la première pensée de séparation se présente (dit-il en traçant une croix sur la page virginale) et nous voici chargé de notre premier parasite. Nous ne sommes plus 1, nous voici rentré dans la division…représentée maintenant par le 2. Deux nous propulse dans la gauche et la droite, le bon et le mauvais, la lumière et l’ombre".

Nous avons provoqué l’apparition d’une imperfection dans la manifestation de notre totalité et nous pouvons demander que cette imperfection soit nettoyée. C'est là que le Ho’oponopono rentre en jeu.

Hoo" signifie "cause" en hawaïen et "ponopono" signifie "perfection". Nous avons la capacité de retourner à cet état de perfection…la page blanche, en demandant simplement que quoique ce soit qui réside en nous et qui ait causé ce parasite, cette division de pensée, remonte à la surface pour être relâchée. Nous demandons pardon d’avoir abrité cette pensée qui nous a séparés de notre Unité avec l’Esprit…et la pensée parasite disparaît. Le docteur Ihaleakala mentionne que quelques fois, il a besoin de répéter la procédure jusqu’à 3 fois, pour que la raison derrière la pensée soit relâchée. Alors, lorsqu’elle est relâchée, l’espace vacant est immédiatement rempli de cette Unité pleine d’amour.

Simpliste, non…simple, oui.

Mme Katz nous a fait partager sa propre expérience à propos du fonctionnement pratique de cette idée. Elle raconte qu’après son divorce, elle était persuadée qu’elle n’aurait jamais plus les moyens de posséder une maison. C’était une pensée qu’elle portait à l’intérieur. Elle pensait qu’elle serait locataire jusqu’à la fin de ses jours. Alors qu’elle cherchait une maison à louer, son propriétaire lui dit qu’il vendait la maison où elle logeait et qu’elle pouvait ou bien l’acheter ou bien partir. Elle se confronta à l’idée qu’elle avait de ne pas être capable d’acheter une maison et demanda qu’elle soit relâchée. Elle détermina l’idée que si cette maison lui appartenait, alors les finances seraient là également. Et comme cela arrive parfois avec l’Esprit, au dernier moment, elle reçut un coup de téléphone lui confirmant que son emprunt était accepté.

Lorsque nous nous retrouvons confrontés aux parasites d’un autre, le Docteur Ihaleakala dit qu’au lieu de partir en jugements (ce qui ne fait que renforcer notre propre parasite de la division par 2… l’autre est différent, désordonné ou malade), c’est là qu’il faut demander le nettoyage de notre propre conscience qui voit les choses divisées. Si nous pouvons voir la division dans notre monde et dans tout ce que nous rencontrons, c’est parce que nous portons la division en nous.

Plus nous demandons que nos pensées divisantes soient relâchées, plus notre état de conscience de l’Unité revient. La division ne peut plus être reflétée dans notre monde ; Au fur et à mesure que nous nous éclaircissons, notre monde s’éclaircit et retrouve sa totalité.

Si vos enfants, votre compagnon ou vos amis vivent la division dans leurs vies, travaillez au nettoyage de vos propres pensées et voyez comment cela transforme ces êtres de votre vie. Quelles idées à l’intérieur de vous-mêmes ont amené ces reflets dans votre monde extérieur ? Demandez que quelle que soit la pensée qui reflète cette division dans votre vie, elle soit amenée à la surface pour être nettoyée et demandez pardon pour avoir abrité cette pensée qui n’était alignée ni sur le principe de l’Amour ni sur celui de l’Unité.

Ou, comme l’un de nos grands prophètes nous l’a dit : "L’amour est tout ce qu’il y a". Cette idée apporte un éclairage nouveau au conseil : "Aimez votre prochain comme vous-même". Nous avons toujours pensé qu’il fallait s’occuper de la première partie de cette phrase alors que c’était la seconde qui avait le plus besoin d’être expérimentée. Comment pourrait-on aimer son prochain si nous nous n’avons même pas commencé à nous aimer nous-mêmes ? Le Ho’oponopono nous offre une méthode simple et non aisée, mais simple au bout du compte, d’aimer tellement fort notre état de Paix et d’Unité, que nous ne puissions faire autrement que d’y retourner. Nous retournons à l’état d’Unité en demandant que quoi que ce soit qui ne ressemble pas à l’Unité soit relâché. Nous transformons le monde en nous transformant à l’intérieur de nous-mêmes.

Et il y a plus encore…. Mais ceci représente la base sur laquelle la croyance ou connaissance est assise. Si vous avez l’occasion d’assiser à un événement avec le Docteur Ihaleakala et Mme Katz, ce sera une vraie fête…une expérience d’amour à soi-même et de comment maintenir cet amour qui transforme votre monde et le monde. Cela revient à se connaître soi-même et le Ho’oponopono offre une clef qui ouvre cette porte vers l’intérieur.

Editorial from The Messenger - April, 2002
HYPERLINK "http://www.themessenger.info/"http://www.themessenger.info/
Joann Turner, editor/publisher

  • 8. QUI EST LE MAITRE?

Par eveiletsante le 14 Mars 2011 à 15:53

Ihaleakala Hew Len : merci de vous joindre à moi pour la lecture de cet article, je vous suis reconnaissant.

J’aime l’Auto-Identité Ho’oponopono et ma chère Morrnah Nalamaku Simeona, Kahuna Lapa’au, qui l’a partagé avec moi si gracieusement en novembre 1982.
Cet article est basé sur des pensées notées dans mes carnets de 2005.

9 janvier 2005
Les problèmes peuvent être résolus sans avoir besoin de décortiquer ce qui se passe! M’en rendre compte et l’apprécier est de l’ordre du soulagement et de la joie purs et simples.

La résolution des problèmes, en partie le but de l’existence, voilà de quoi parle l’Auto-Identité du Ho’oponopono. Pour résoudre un problème, deux questions doivent se poser : "Qui suis-je ?" et "Qui est le maitre ?"

Appréhender la nature du cosmos commence, comme l’a dit Socrate, par "Connais-toi toi-même".

21 janvier 2005
Qui est le maitre?

La plupart des gens, y-compris les membres de la communauté scientifique, regardent le monde comme une entité physique.
Les recherches actuelles sur l’ADN destinées à identifier les causes des maladies du cœur, des cancers et du diabète en sont une bonne démonstration.

La Loi de la Cause et de l’Effet. Modèle Physique

Cause

Effet

ADN défectueux
ADN défectueux
ADN défectueux
Physique
Physique

Maladies Cardiaques
Cancer
Diabètes
Problèmes Physiques
Problèmes Environnementaux

L’intellect, le mental Conscient, croit qu’il est le solutionneur de problèmes.
Il croit qu’il contrôle ce qui se passe et ce qui est expérimenté.

Dans son livre "L’illusion de l’Utilisateur : Décorticage de la Conscience", le journaliste scientifique Tor Norretranders dépeint un Conscient bien différent. Il cite des études de chercheurs, plus particulièrement celles du professeur Benjamin Libet de l’Université de Californie à San Fransisco, qui montrent que les décisions sont prises avant que le Conscient ne le fasse. Et le Conscient ne s’en rend pas compte, croyant que c’est lui qui décide!

Modèles
"Depuis le jour de ma naissance
Jusqu'à l’instant de ma mort,
Existent des modèles que je dois suivre,
Comme je dois respirer.
Comme un rat de labyrinthe,
Le chemin est tout tracé.
Et le modèle jamais ne change,
Jusqu’à ce qu’en meure le rat.

Et les modèles toujours perdurent
Sur la paroi s’obscurcissant,
Et c’est ainsi bien adéquat,
Puisque le noir est ma demeure.
De la couleur de ma peau
Au déclenchement de ma vieillesse
Ma vie est faite de modèles
Qui se laissent à peine contrôler".
Paul Simon, Poète.

Norretanders cite également une étude illustrant que l’intellect n’est conscient que de 15 à 20 bits d’information par seconde parmi des millions de réactions survenant au-delà de sa perception!

Si ce n’est pas l’Intellect, ni la Conscience, alors qui est le maitre ?

8 février 2005
La répétition des mémoires dicte ce qu’expérimente le mental Subconscient.

Le mental Subconcient expérimente les mémoires se répétant indirectement, par procuration, en les mimant, en y faisant écho. Il se comporte, voit, sent et décide exactement selon ce que lui dictent les mémoires. Le mental Conscient se comporte de la même manière à son insu, par le biais de cette répétition des mémoires. Elles dictent ce qu’il expérimente comme le montrent certaines recherches.

Loi de Cause et d’Effet - Auto-Identité Ho‘oponopono

Cause

Effet

Mémoires se répétant dans le mental Subconscient
Mémoires se répétant dans le mental Subconscient
Mémoires se répétant dans le mental Subconscient
Mémoires se répétant dans le mental Subconscient
Mémoires se répétant dans le mental Subconscient

Physique - Problèmes Cardiaques
Physique - Cancer
Physique - Diabète
Physique - Le Corps
Physique - Le Monde

Le corps et le monde résident dans le mental Subconscient en tant que créations provenant de la répétition des mémoires, et rarement en tant que phénomènes issus de l’Inspiration.

23 février 2005
Le mental Subconscient et le Mental Conscient, incluant l’âme, ne génèrent pas leurs propres idées, pensées, sentiments et actions. Comme il a été dit précédemment, ils expérimentent le monde par le biais de la répétition des mémoires et par celui de l’Inspiration.

"Mais les hommes interprètent les choses à leur guise, loin de ce que sont les choses en elles-mêmes".
William Shakespeare, Auteur dramatique.

Il est essentiel de comprendre que l’âme ne génère pas d’expériences par elle-même. Elle voit ce que les mémoires voient, ressent ce que les mémoires ressentent, se comporte comme les mémoires se comportent et décide comme les mémoires décident. Il est rare qu’elle voie, sente, se comporte et décide à partir de la vision, du ressenti, des attitudes et décisions dictées par l’Inspiration !

Dans la résolution des problèmes, il est crucial de comprendre que le corps et le monde ne sont pas les problèmes en eux-mêmes, mais que ce sont les effets et conséquences de mémoires se répétant inlassablement dans le Subconscient ! Qui est donc le maitre ?

"Pauvre âme, Centre de mon corps de péché,
Esclave de sa puissante rébellion qui t’attaque sans fin,
Pourquoi t’infériorises-tu et souffres-tu de la faim
Quand ton corps tu décores de si riches peintures?"
William Shakespeare, Poète.

12 mars 2005
Le Vide (Néant), est la fondation de l’Auto-Identité, du Mental, du Cosmos. Il est l’état précurseur à l’infusion des Inspirations provenant de l’Intelligence Divine vers le mental Subconscient.

"Tout ce que les scientifiques savent, c’est que le cosmos provient du néant et retournera vers le néant dont il est issu. L’univers commence et termine avec le zéro".
Charles Seife, "ZERO : Biographie d’une idée dangereuse"

 

Schéma n° 1
Auto-Identité
Etat du Vide

 

Les mémoires qui se répètent remplacent le Vide de l’Auto-Identité, empêchant la manifestation de l’Inspiration.
Pour remédier à ce remplacement, pour rétablir l’Auto-Identité, les mémoires ont besoin d’être transformées en Vide par le biais de la transmutation opérée par l’Intelligence Divine.

"NETTOIE, efface, efface et trouve ton propre Shangri-La.
Où donc ?
En toi-même"
Morrnah Nalamaku Simeona, Kahuna Lapa’au

"Aucune tour de pierres, ni murs de bronze martelé
ni cachot privé d’air, ni forts maillons de fer
ne sauraient entraver la force de l’Esprit".
William Shakespeare, auteur dramatique

22 mars 2005
L’existence est un don de l’Intelligence Divine.
Le cadeau et offert dans le but unique de rétablir l’Auto-Identité à travers la résolution des problèmes. L’Auto-Identité Ho’oponopono est une version adaptée à notre langue et à notre temps d’un ancien procédé de résolution des problèmes à l’aide du repentir, du pardon et de la transmutation.

"Ne jugez pas et vous ne serez pas jugé.
Ne condamnez pas et vous ne serez pas condamné.
Pardonnez et vous serez pardonné".
Jésus, selon Luc 6

Le Ho’oponopono implique la participation complète de chacun des 4 membres de l’Auto-Identité :
L’Intelligence Divine, le mental SuperConscient, le mental Conscient et le mental Subconscient
travaillant ensemble comme un seul organisme.
Chaque membre a sa fonction et son rôle unique à jouer dans la dissolution des mémoires se répétant dans le mental Subconscient.

Le mental SuperConscient est libre de mémoire ;
Il n’est pas affecté par les mémoires répétées par le mental Subconscient.
Il est toujours UN avec l’Intelligence Divine.
Cependant, puisque l’Intelligence Divine bouge, le mental SuperConscient bouge également.

L’Auto-Identité opère par le biais des mémoires ou de l’Inspiration.
Quel que soit le moment, une seule de ces 2 possibilités - mémoire ou Inspiration - peut prendre les commandes du mental Subconscient. L’âme de l’Auto-Identité ne peut servir qu’un maitre à la fois, servant habituellement la mémoire-épine plutôt que l’Inspiration-rose.

 

Schéma n° 2
Auto-Identité
Etat d’Inspiration

Schéma n° 3
Auto-Identité
Etat de mémoire se répétant

 

 

30 avril 2005
"Je suis le propre consommateur de mes malheurs"
John Clare, Poète

Le Vide est le dénominateur commun, l’égalisateur de la totalité des l’Auto-Identités, animées et inanimées".
Il est le fondement indestructible et éternel du cosmos tout entier, connu et inconnu.

"Nous tenons pour évidentes les vérités suivantes, que tous les hommes (toutes les formes de vies) sont nés égaux…"
Thomas Jefferson, auteur de la Déclaration d’Indépendance des USA.

Les mémoires se répétant remplacent ce dénominateur commun de l’Auto-Identité,
emportant l’Ame du Mental au-delà de sa position naturelle de Vide et d’Infini.
Cependant, mêmes si les mémoires peuvent remplacer le Vide, elles ne peuvent pas le détruire.
Comment pourrait-on détruire le néant ?

"Une maison divisée contre elle-même ne peut tenir debout."
Abraham Lincoln, Président des USA

12 mai 2005
Le mental Conscient peut entamer le processus Ho’oponopono pour libérer les mémoires ou bien il peut s’y attacher et les déclencher à travers le blâme et la pensée.

Schéma n° 4
Ho’oponopono Auto-Identité (Résolution des Problèmes)
Repentir et Pardon

1 : Le mental Conscient entame le processus de résolution des problèmes Ho’oponopono, en faisant une demande à l’Intelligence Divine de transmuter les mémoires. Il admet que le problème est en fait une mémoire qui se répète dans son mental Subconscient. Il admet également qu’il en est 100% responsable. La demande se déplace du mental Conscient vers le Mental Subconscient.

2 : La descente de la demande dans le mental Subconscient prépare en douceur les mémoires à la transmutation. La demande se déplace alors du mental Subconscient vers le mental SuperConscient, et…

3 : … le mental SuperConscient étudie la demande et réalise les changements appropriés. Comme il est toujours en harmonie avec l’Intelligence Divine, il a cette capacité d’étude et de transformation. La demande est ensuite envoyée vers l’Intelligence Divine pour examen et considération.

Schéma n° 5
Ho’oponopono Auto-Identité
(Résolution des Problèmes)
Transmutation par l’Intelligence Divine

 

 

4 : Après examen de la demande faite par le mental SuperConscient, l’Intelligence Divine lui répond et lui envoie l’énergie de transmutation ;

5 : L’énergie de transmutation s’écoule alors du mental SuperConscient vers le mental Conscient ;

6 : Puis l’énergie de transmutation descend du mental Conscient au mental Subconscient. L’énergie de transmutation neutralise tout d’abord les mémoires en question. Les énergies neutralisées sont ensuite libérées et retournent à leur source, laissant un vide.

12 juin 2005
Penser et blâmer (voir le schéma n°3), c’est répéter des mémoires

L’Ame peut être inspirée par l’Intelligence Divine sans voir la moindre idée de ce qui se passe. La seule condition requise pour l’Inspiration, la Créativité Divine, c’est que l’Auto-Identité soit l’Auto-Identité.
Pour vivre dans l’Auto-Identité, il est nécessaire de nettoyer les mémoires en permanence.

Les mémoires sont les compagnes constantes du mental Subconscient. Elles ne le quittent jamais pour partir en vacances. Elles ne le quittent jamais pour partir à la retraite.
Les mémoires ne cessent jamais de se répéter, encore et encore !



Le conte de l’homme de loi

"O chagrin si soudain qui n’est jamais bien loin,
Félicité terrestre ! aspergée d’amertume,
Au bout de nos labeurs, seule la joie s’achève,
Le Malheur est dans le but vers lequel nous courrons !
Pour ta propre sauvegarde, n’en pense pas moins,
Et dans tes jours de joie, souviens-toi de ceci,
Le démon inconnu oeuvre par derrière".
Geoffrey Chaucer, Les Contes de Canterbury

Pour en finir une bonne fois pour toutes avec les mémoires, elles doivent être nettoyées par le vide une bonne fois pour toutes.

"C’est en Iowa en 1971 que je suis tombé follement amoureux pour la deuxième fois.
Ma chère "M", notre fille venait de naitre.
Plus je voyais ma femme s’en occuper plus je les aimais toutes les deux.
J’avais maintenant deux êtres merveilleux à aimer.
Cet été là, après avoir complété ma formation dans une école de l’Utah, ma femme et moi nous trouvions devant un choix : nous pouvions rentrer chez nous à Hawaii ou bien je continuais mes études en Iowa.
Dés le début de notre installation dans l’Etat de Hawkeye, deux difficultés surgirent:
Tout d’abord, "M" n’avait jamais cessé de pleurer depuis que nous l’avions ramenée de l’hôpital.
Ensuite, ce fût le pire hiver du siècle en Iowa : chaque matin et pendant des semaines, j’ai dû donner des coups de pieds dans le bas de la porte d’entrée de la maison pour casser la glace de l’autre côté et finir de la faire tomber à coup de poings.

Durant sa première année, des taches de sang apparurent sur les draps de "M". C’est seulement maintenant que je l’écris que je réalise que ses pleurs constants étaient dus à un grave problème de peau qui fut diagnostiqué plus tard.
A trois ans, le sang s’écoulait continuellement des crevasses de ses doigts des mains et des pieds. Des couches de peau épaisses recouvraient l’intérieur de ses bras ainsi que son cou.
Neuf ans plus tard, alors qu’elle avait environ douze ans, "M", sa sœur et moi-même rentrions à la maison en voiture lorsque soudain, je réalisais que je nous conduisais, sans m’en rendre compte, vers mon bureau à Waikiki.
"Oh ! vous êtes venus me voir", dit Morrnah tranquillement alors que nous passions tous trois la porte de son bureau. Tout en rangeant ses papiers elle dit doucement à "M" : "Tu avais quelque chose à me demander ?"
"M" allongea ses bras, montrant des années de douleur et de chagrin, tatouées sur sa peau à l’allure de rouleaux de parchemin Phéniciens. "D’accord" dit Morrnah, puis elle ferma les yeux.
Qu’était-elle en train de faire ?
Le créateur de l’Auto-Identité était en train de pratiquer l’Auto-Identité Ho’oponopono.
Un an plus tard, treize ans de saignements, de peur, de douleur, de chagrin et de médicaments s’arrêtèrent".
-- Un étudiant de l’Auto-Identité Ho’oponopono

5 mai 2005
Pour que l’Auto-Identité soit de l’Auto-Identité à chaque instant, cela demande un incessant Ho’oponopono. Comme pour les mémoires, l’incessant Ho’oponopono ne part jamais en vacances, l’incessant Ho’oponopono ne part jamais à la retraite, l’incessant Ho’oponopono ne dors jamais, l’incessant Ho’oponopono ne peut jamais s’arrêter parce que …
"… et dans tes jours de joie, souviens-toi de ceci, le démon inconnu (les mémoires qui se répétent) oeuvre par derrière".


30 juin 2005
Le but de la vie est de devenir l’Auto-Identité car la Divinité a créé l’Auto-Identité à sa propre image, Vide et Infinie.
Toutes les expériences de la vie sont des expressions de mémoires se répétant et d’Inspirations.
La dépression, la pensée, le blâme, la pauvreté, la haine, la rencoeur et la peine sont : "… des gémissements déjà gémis ", (des souffrances vécues anciennement), comme le dit Shakespeare dans ses Sonnets.

12 décembre 2005
La Conscience travaillant seule ignore le plus précieux des cadeaux de l’Intelligence Divine :
L’Auto-Identité.
Ainsi, elle ignore de quoi est fait un problème.
Cette ignorance la rend incapable de résoudre un problème.
La pauvre âme se retrouve dans un chagrin incessant et bien inutile pour toute son existence.
C’est bien triste !
Le mental Conscient a besoin de se réveiller, de se rendre compte du cadeau de l’Auto-Identité,
"…la prospérité au-delà de toute espérance !".
L’Auto-Identité est indestructible et éternelle, à l’image de son Créateur, la Divine Intelligence.
Les conséquences de l’ignorance sont l’impitoyable réalité dénuée de sens, la pauvreté, la maladie, la guerre et la mort, d’une génération à l’autre.

24 décembre 2005
Le monde physique est l’expression des mémoires et de l’Inspiration survenant dans l’âme de l’Auto-Identité. En changeant l’état de l’Auto-Identité, le monde physique change.

Qui est le maitre ? ...l’Inspiration ou les mémoires qui ressurgissent sans fin ?
Le choix appartient au mental Conscient.

7 février 2006 (un bond dans 2006)
Voici quatre (4) procédés de l’Auto-Identité Ho’oponopono pour la résolution de problèmes, qui peuvent être employés pour rétablir l’Auto-Identité, à travers le nettoyage par le vide des mémoires répétant des problèmes dans le mental Subconscient.

1 : "Je t’aime"
Quand votre âme expérimente les mémoires répétant les problèmes, dites-leur mentalement ou silencieusement : "Je vous aime chères mémoires, je vous suis reconnaissant de l’opportunité que vous me donnez de toutes vous libérer et de me libérer moi-même".
"Je vous aime", peut-être répété tranquillement encore et encore. Les mémoires ne partent pas en vacances ni à la retraite à moins que vous ne les retiriez vous-même.
"Je vous aime" peut être utilisé même si vous n’êtes pas conscient des problèmes ; Par exemple, il peut être utilisé avant de s’engager dans une activité telle qu’appeler ou répondre au téléphone ou monter dans sa voiture pour aller quelque part.
"Aimez vos ennemis, faites le bien à ceux qui vous haïssent".
Jésus selon Luc : 6
2 : "Merci", cet outil peut-être utilisé avec ou à la place du "Je vous aime" ; Comme lui, il peut-être répété mentalement à maintes reprises.
3 : L’Eau Solaire Bleue : boire beaucoup d’eau est une pratique de résolution des problèmes merveilleuse, surtout si c’est de l’eau solaire bleue. Prenez un récipient de verre bleu, sans couvercle de métal et remplissez-le avec de l’eau du robinet. Placez votre récipient, soit au soleil, soit sous une ampoule à incandescence (pas fluorescente) pour au moins une heure. Lorsque l’eau est solarisée, vous pouvez vous en servir de différentes façons : Vous pouvez la boire, cuisiner avec elle, vous rincer après un bain ou une douche. Les fruits et les légumes adorent être rincés à l’eau solaire bleue ! Tout comme avec les procédés "je t’aime" et "je te remercie", l’eau solaire bleue vide les mémoires qui répétent les problèmes dans le mental Subconscient. Alors, buvez !
4 : Fraises et myrtilles : ces fruits vident les mémoires. Ils peuvent être consommés frais ou deshydratés aussi bien qu’en compotes, gelées et même en sirop sur une bonne glace !

 

27 décembre 2005 (retour sur 2005)
Il y a quelques mois, il m’est venu à l’idée de créer un glossaire des principaux termes de l’Auto-Identité Ho’oponopono. Une bonne manière de s’y habituer à loisir.

1 : Auto-Identité : Je suis l’Auto-Identité. Je suis composé(e) de 4 éléments, l’Intelligence Divine, Le Mental SuperConscient, le Mental Conscient et, le Mental Subconscient. Mes fondations, le Vide et l’Infini, sont la réplique exacte de l’Intelligence Divine.

2 : Divine Intelligence : Je suis l’Intelligence Divine. Je suis l’Infini. Je crée des Auto-identités et des Inspirations. Je transmute les mémoires en Vide.

3 : Mental SuperConscient : Je suis le mental SuperConscient. Je peux tout voir du mental Conscient et du mental Subconscient. J’examine et opère les changements demandés - à travers le Ho’oponopono- par le mental Conscient à l’Intelligence Divine. Je ne suis pas affecté par les mémoires qui se répètent dans le mental Subconscient. Je suis éternellement UN avec le Divin Créateur.

4 : Mental Conscient : Je suis le mental Conscient. J’ai le don du choix. Je peux permettre aux mémoires incessantes de dicter l’expérience au mental Subconscient et à moi-même, ou bien je peux entreprendre de les libérer à travers le Ho’oponopono constant. Je peux demander à l’Intelligence Divine de me guider.

5 : Mental Subconscient : Je suis le mental Subconscient. Je suis la banque de données de toutes les mémoires accumulées depuis le début de la création. Je suis le lieu où les expériences sont expérimentées sous la forme de mémoires qui se répètent ou bien sous la forme d’Inspirations. Je suis l’endroit où vivent les problèmes sous la forme de mémoires se réactivant.

6 : Vide : Je suis la fondation de l’Auto-Identité et du Cosmos. Je suis la Divine Intelligence, l’Infini, d’où jaillissent les Inspirations. Les mémoires qui se répètent dans le mental Subconscient me remplacent mais ne me détruisent pas ; Elles empêchent le flot d’Inspirations de l’Intelligence Divine.

7 : Infini : Je suis l’Infini , l’Intelligence Divine. Les Inspirations qui coulent de moi, telles de fragiles roses vers le Vide de l’Auto-Identité, sont aisément remplacées par les épines des mémoires.

8 : Inspiration : Je suis l’Inspiration. Je suis la création de l’Infini, de l’Intelligence Divine. Je me manifeste du Vide vers le mental Subconscient. Je suis expérimentée comme un événement totalement nouveau.

9 : Mémoire : Je suis la Mémoire. Je suis l’enregistrement d’une expérience passée dans le mental Subconscient. Lorsque je suis déclenchée je fais revivre les expériences passées.

10 : Problème : Je suis le problème. Je suis une mémoire reproduisant une expérience du passé dans le mental Subconscient.

11 : Expérience : Je suis l’expérience. Je suis l’effet d’une mémoire qui se répète ou bien l’effet d’une Inspiration dans le Mental Subconscient.

12 : Mécanisme de Fonctionnement : Je suis le Mécanisme de Fonctionnement. J’utilise l’Auto-Identité et le Vide, l’Inspiration et la Mémoire.

13 : Ho’oponopono : Je suis le Ho’oponopono ; Je suis l’ancient procédé Hawaïen de résolution de problèmes, mis à jour par la Kahuna Lapa’au : Morrnah Nalamaku Simeona, reconnue Trésor Vivant de Hawaï, en 1983. Je suis composé de 3 éléments : le repentir, le pardon et la transmutation. Initiée par le Mental Conscient, je suis une demande à l’Intelligence Divine, la priant de vider les mémoires pour rétablir l’Auto-Identité. Je nais dans le Mental Conscient.


14 : Repentir : Je suis le Repentir ; Je suis celui par qui commence le processus du Ho’oponopono initié par le mental Conscient dans sa demande à l’Intelligence Divine de transmuter les mémoires en Vide. A travers moi, le mental Conscient admet sa responsabilité concernant les mémoires répétant les problèmes dans le mental Subconscient, reconnaissant les avoir crées, acceptées et accumulées.

15 : Pardon : Je suis le Pardon. Avec le Repentir, je suis la demande du mental Conscient au Divin Créateur, de transformer les mémoires du Subconscient en Vide. Non seulement le mental Conscient est affligé mais il demande aussi à être pardonné par la Divine Intelligence.

16 : Transmutation : Je suis la Transmutation. L’intelligence Divine m’utilise pour neutraliser.

17 : Prospérité : Je suis la Prospérité. Je suis l’Auto-Identité.

18 : Pauvreté : Je suis la pauvreté. Je suis le jeu des mémoires qui se répètent. Je remplace l’Auto-Identité, empêchant ainsi l’entrée de l’Inspiration de l’Intelligence Divine dans le mental Subconscient.

Avant de vous laisser, j’aimerai mentionner que la lecture de cet article (n°9) compense la participation au cours du vendredi soir, si votre intention est de suivre un stage du week-end sur l’Auto-Identité Ho’oponopono.
Je vous souhaite la Paix au-delà de toute compréhension
O Ka Maluhia no me oe.
Que la Paix soit avec vous,

Ihaleakala Hew Len, Ph.D.
The Foundation of I, Inc. Freedom of the Cosmos

Merci à KR, HW, OH et JV pour la relecture et commentaires des brouillons de cette article. Et merci une deuxième fois à OH qui a préparé ce même article pour le site Internet de la Fondation.
Je suis reconnaissant.

 

 


FOR ADDITIONAL READING.....
LECTURES ADDITIONNELLES (ANGLAIS)

Bibliography

The Foundation of I, Inc., Dewdrops of Wisdom, 1984, The Foundation of I, Inc.

The User Illusion: Cutting Consciousness Down to Size, Tor Norretranders, Penguin Press Science

Your Body's Many Cries for Water, F. Batmanghelidj, M. D. Global Health Solutions

Water: For Health, for Healing, for Life: You're Not Sick, You're Thirsty,
F. Batmanghelidj, M. D., Warner Books Inc.

The Sonnets, by William Shakespeare / illustrated by Charles Brown, 1991, GRAMERCY BOOKS, NY

Thought Forms, Besant, Annie

Thought Forms, Man Visible & Invisible, Leadbeater, C.W., 1925, Theosophical Publishing House.

The Etheric Double, Powell, A.E., 1969, Theosophical Publishing House.

Hawaiian Dictionary, Pukui, Mary Kawena; Elbert, Samuel H., University of Hawaii Press, Honolulu, Hawaii 1971.

Lien vers le site Hoponopono France:
http://hooponoponofrance.org/
le lien vers le site original en anglais :
http://www.hooponoponotheamericas.org/articles.htm

 

 

Première approche, par Nathalie Bodin qui présente les grandes lignes

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